Plus de téléphone jeudi 8 septembre allée Renoir. Si des coupures arrivent parfois lors d'opérations de maintenance, cette fois ça ne risquait pas de se rétablir spontanément: les lignes téléphoniques ont été coupées par accident !
C'est encore un camion qui a heurté un poteau métallique à l'entrée de l'allée (intersection avec la route de Jablines). Le câble, qui coure le long du poteau depuis le sol, a été écrasé, jusqu'à en rompre la gaine et de nombreux conducteurs.
Un tel incident s'est déjà produit par le passé comme en témoigne le boîtier en plastique noir présent sur ce câble et abritant la réparation. Le poteau penche sensiblement et présente un enfoncement qui témoigne de la force qu'il a subi.
Les conséquences d'un tel incident de nos jours sont beaucoup plus problématiques pour les riverains concernés car ils n'y perdent plus que le téléphone. Les petits fils de cuivre transportent aussi internet et la télévision. L'afflux des demandes pressantes en mairie pour trouver une solution montre le degré de dépendance aux services numériques !
Les abonnés contactant leur fournisseur d'accès internet se sont vus annoncer un délai d'intervention de plus de trois semaines, inconcevable.
La suite logique, enfin pas tout-à-fait, est que la demande d'assistance a finalement été adressée au service technique de la commune qui n'est aucunement autorisé à intervenir. Qu'à cela ne tienne, ce n'est pas la première fois que l'on doit se substituer aux opérateurs de télécommunications pour réparer des lignes aériennes coupées par la chute d'un arbre ou éventrer un trottoir et remplacer les fourreaux de lignes enterrées écrasés lors d'un chantier (voir ancien article).
Ici, il ne s'agit que de rebrancher des fils électriques, pas compliqué a priori. Sauf que les fils en question sont très minces et fragiles, qu'ils sont nombreux et de couleurs similaires. Le risque est surtout d'inverser des raccordements faute de pouvoir identifier formellement les brins. D'autre part, les brins écrasés et coupés ne peuvent être raccordés directement, l'ajout d'un bout de fil sur chaque connexion a été nécessaire.
Enfin, les connexions fil à fil se font normalement avec des cosses spéciales que le service technique ne possède évidemment pas.
Le diagnostic le jour de l'incident, après retrait d'une portion de la gaine de protection, est que sur les 28 paires de fils, au moins la moité est touchée. La réparation ne peut s'improviser en fin de journée et un temps de préparation est nécessaire.
Le lendemain matin, dès que les autres tâches programmées sont effectuées, le travail commence. Chaque brin est comparé pour identifier celui qui lui correspond le mieux (les gaines sont déchiquetées). un bout de câble de réseau informatique, cannibalisé pour l'occasion, fournit les fils de raccordement. Tant pis pour les couleurs qui ne correspondent pas, nécessité fait loi ! Faute de cosses spéciales, les connexions sont de simples épissures isolées par du ruban adhésif.
Le travail est repris l'après-midi, après ravitaillement en fil de rechange, une vérification ayant révélé que des gaines encore reliée cachaient des fils coupés.
L'opération se fait entièrement à l'aveugle puisqu'il n'y a aucun moyen se savoir si les connexions sont les bonnes. C'est sans aucune garantie !
Bilan de l'intervention:
26 brins sectionnés ont été rebranchés par 52 épissures et une dizaine d'autres, juste endommagés, laissés tels quels. Un petit boîtier de protection, symbolique car non étanche, recouvre les raccordements de fortune.
Tout cela n'est qu'un dépannage avec les moyens du bord, certainement pas une réparation. La nuance est importante car la fiabilité n'est pas du tout la même. Ce n'est qu'un service en attendant mieux. En effet, aucune règle de l'art n'ayant pu être respectée, les épissures ne maintiendront probablement pas longtemps un contact électrique suffisamment bon pour le transit des données. Une vraie réparation en bonne et due forme par un technicien qualifié et outillé reste nécessaire.
12 septembre 2016
11 septembre 2016
Le centre de loisirs remplace la bibliothèque
Suite à l'extension de l'école sur les locaux du centre de loisirs, celui-ci a également dû être redéployé pour continuer à fonctionner normalement. C'est la bibliothèque qui en fait les frais et qui ferme donc pour que le centre de loisirs/garderie puisse continuer à accueillir les enfants au quotidien.
La lecture publique, domaine transféré à la communauté de communes, reste néanmoins accessible au public dans les autres bibliothèques de Marne et Gondoire. Un fonds minimum est par ailleurs conservé dans les locaux, à usage de l'école.
Si certains livres ont été transférés vers la bibliothèque de Chanteloup en Brie, d'autres ont été restitués à la bibliothèque de prêt (médiathèque) de Melun. Une grande partie a été soigneusement répertoriée par informatique et stockée dans la cave du château, mais plusieurs centaines de titres en obsolescence ont été détruits (plus précisément envoyés au recyclage par les conteneurs jaunes).
Tout le mobilier a été déplacé, et à part ce qu'il reste de la bibliothèque, la partie centre de loisirs a été entièrement vidée pour permettre le remplacement par une entreprise de la moquette par un revêtement de sol plastifié.
Le mobilier stocké dans la salle polyvalente (elle-même rendue inaccessible pendant les travaux de peinture), a ensuite été en partie remis en place pour aménager le centre de loisirs, le reste étant stocké en attente d'une nouvelle utilisation.
Le bâtiment est donc à nouveau configuré pour l'accueil des enfants, avec des sols refaits et le bloc sanitaire (précédemment condamné de manière réversible), partiellement remis en service.
Tout cela nous aura demandé une manutention considérable, avec plusieurs transferts entre les différents bâtiments, à conjuguer avec celle des autres chantiers en cours simultanément. Le papier de tous ces livres, magazines et journaux est lourd, donc les étagères doivent être très solides et stables, ce qui les rend lourdes également. Les vacances scolaires n'ont pas été de tout repos pour tout le monde !
Le bâtiment devient donc centre de loisirs, mais reste en partie bibliothèque et reçoit également d'autres activités comme les temps d'activités périscolaires et des activités associatives, les trois salles principales permettant de les séparer.
Cette disposition est pour l'instant temporaire, le nombre d'élèves devant se réduire dès l'année prochaine. Tout reste donc réversible... jusqu'à la prochaine vague démographique.
La lecture publique, domaine transféré à la communauté de communes, reste néanmoins accessible au public dans les autres bibliothèques de Marne et Gondoire. Un fonds minimum est par ailleurs conservé dans les locaux, à usage de l'école.
Si certains livres ont été transférés vers la bibliothèque de Chanteloup en Brie, d'autres ont été restitués à la bibliothèque de prêt (médiathèque) de Melun. Une grande partie a été soigneusement répertoriée par informatique et stockée dans la cave du château, mais plusieurs centaines de titres en obsolescence ont été détruits (plus précisément envoyés au recyclage par les conteneurs jaunes).
Une partie du stockage au sous-sol du château. |
Tout le mobilier a été déplacé, et à part ce qu'il reste de la bibliothèque, la partie centre de loisirs a été entièrement vidée pour permettre le remplacement par une entreprise de la moquette par un revêtement de sol plastifié.
Le mobilier stocké dans la salle polyvalente (elle-même rendue inaccessible pendant les travaux de peinture), a ensuite été en partie remis en place pour aménager le centre de loisirs, le reste étant stocké en attente d'une nouvelle utilisation.
Le bâtiment est donc à nouveau configuré pour l'accueil des enfants, avec des sols refaits et le bloc sanitaire (précédemment condamné de manière réversible), partiellement remis en service.
Tout cela nous aura demandé une manutention considérable, avec plusieurs transferts entre les différents bâtiments, à conjuguer avec celle des autres chantiers en cours simultanément. Le papier de tous ces livres, magazines et journaux est lourd, donc les étagères doivent être très solides et stables, ce qui les rend lourdes également. Les vacances scolaires n'ont pas été de tout repos pour tout le monde !
Le bâtiment devient donc centre de loisirs, mais reste en partie bibliothèque et reçoit également d'autres activités comme les temps d'activités périscolaires et des activités associatives, les trois salles principales permettant de les séparer.
Cette disposition est pour l'instant temporaire, le nombre d'élèves devant se réduire dès l'année prochaine. Tout reste donc réversible... jusqu'à la prochaine vague démographique.
21 août 2016
C'est la brousse !
Vous aurez remarqué, et certains s'en sont plaints, que la végétation avait tendance à envahir le village depuis quelques temps. En voici les raisons.
Le phénomène ne touche pas que Chalifert, il résulte de la pression qui a été faite sur les services municipaux pour ne plus utiliser de produits chimiques désherbants. Nous avons testé différents matériels et techniques de substitution, et la Nature étant la plus forte, ces essais n'ont pas été très concluants. En fait, aucun ne cumule les avantages des produits chimiques et il faut donc rechercher le meilleur compromis.
Nous avons essayé:
Il existe d'autres techniques et surtout d'autres matériels qui ne nous sont malheureusement pas accessibles pour diverses raisons, mais l'essentiel est déjà connu. Quant au sarclage manuel, il est tout simplement inenvisageable au regard des surfaces à traiter.
Il y a aussi des complications de saison qui expliquent cet envahissement:
- L'alternance de pluies abondantes et d'ensoleillement qui favorise la croissance des végétaux.
- La variété des sols à traiter: pieds de murs irréguliers et fragiles, trottoirs en gravillons, anfractuosités dans les caniveaux, talus et fossés, espaces difficiles d'accès entre les tombes du cimetière, pieds de haies non protégés, pieds de poteaux, etc.
- La réduction des effectifs, trois personnes en moins depuis quelques mois.
- Les congés d'été qui réduisent encore notre disponibilité.
- La concomitance de nos autres missions.
- Panne du dernier tracteur équipé pour la tonte et délai avant intervention d'un technicien.
Les herbes folles ne sont donc aucunement une négligence ou un renoncement à l'entretien du village, on est juste dépassés, tout simplement, tout comme doivent l'être bon nombre de services municipaux un peu partout ailleurs en cette période. La situation ne devrait être que temporaire, le désherbage a maintenant repris.
Le phénomène ne touche pas que Chalifert, il résulte de la pression qui a été faite sur les services municipaux pour ne plus utiliser de produits chimiques désherbants. Nous avons testé différents matériels et techniques de substitution, et la Nature étant la plus forte, ces essais n'ont pas été très concluants. En fait, aucun ne cumule les avantages des produits chimiques et il faut donc rechercher le meilleur compromis.
Nous avons essayé:
- Le désherbage thermique à la flamme.
Très long à mettre en œuvre de par notre matériel, efficace sur les jeunes pousses et les graines, son inconvénient principal est de ne pas traiter les racines, les plantes déjà installées reviennent sans difficulté. - Le désherbage "bio" au sel/vinaigre.
C'est l'expérimentation en cours, dont les résultats sont encourageants. Le sel a l'inconvénient d'abîmer le sol, le vinaigre seul est probablement préférable. L'efficacité sur plantes adultes ne nous est pas encore connue. - Le désherbage mécanisé à la brosse métallique.
C'est un accessoire monté en lieu et place de la tête dévidoir de fil sur une débroussailleuse. efficace sur les trottoirs en enrobé mais inutilisable sur gravillons. Ne retire que la partie aérienne des plantes qui reviennent donc assez vite. - Le désherbage mécanisé à la lame contra-rotative.
C'est une débroussailleuse spécialisée qui permet de travailler à ras des murs sans les dégrader et qui ne génère pas de projections sur graviers mais ne coupe pas à ras du sol. Là encore, seule la partie aérienne de la plante est supprimé, temporairement.
Il existe d'autres techniques et surtout d'autres matériels qui ne nous sont malheureusement pas accessibles pour diverses raisons, mais l'essentiel est déjà connu. Quant au sarclage manuel, il est tout simplement inenvisageable au regard des surfaces à traiter.
Il y a aussi des complications de saison qui expliquent cet envahissement:
- L'alternance de pluies abondantes et d'ensoleillement qui favorise la croissance des végétaux.
- La variété des sols à traiter: pieds de murs irréguliers et fragiles, trottoirs en gravillons, anfractuosités dans les caniveaux, talus et fossés, espaces difficiles d'accès entre les tombes du cimetière, pieds de haies non protégés, pieds de poteaux, etc.
- La réduction des effectifs, trois personnes en moins depuis quelques mois.
- Les congés d'été qui réduisent encore notre disponibilité.
- La concomitance de nos autres missions.
- Panne du dernier tracteur équipé pour la tonte et délai avant intervention d'un technicien.
Les herbes folles ne sont donc aucunement une négligence ou un renoncement à l'entretien du village, on est juste dépassés, tout simplement, tout comme doivent l'être bon nombre de services municipaux un peu partout ailleurs en cette période. La situation ne devrait être que temporaire, le désherbage a maintenant repris.
L'école s'étend au château
Selon les années, la natalité à Chalifert évolue plus ou moins et par conséquent, l'effectif des enfants à l'école. Devant le besoin de créer une nouvelle classe, c'est au château (centre de loisirs) que se trouvait la seule possibilité d'extension. L'aménagement de cette classe est groupé avec la rénovation des trois classes du primaire.
Si le projet d'origine prévoyait le montage d'une cloison par une entreprise, il a finalement été revu et la cloison annulée. Notre intervention s'est limitée à un rafraîchissage partiel de la peinture murale, ainsi qu'à la manutention du mobilier, tant du centre de loisirs que celui de la nouvelle classe.
Le mobilier du centre de loisirs a été transféré dans le bâtiment de la bibliothèque, le meuble des activités artistiques a été monté de deux étages, l'équipement scolaire est en partie du stock remonté des caves du château et en partie du matériel neuf.
Côté école, en préparation pour l'entreprise de peinture, nous avons libéré les murs et plafonds de tout élément rapporté, tableaux, tringles et rideaux, armoires, éclairages, porte-manteaux, etc.
Même chose pour la salle polyvalente Claude Perryer où tous les appendices muraux ont été retirés pour permettre la remise en peinture.
Il s'en est évidemment suivi la remise en place des tableaux et autres équipements (convecteurs, stores,haut-parleurs, extincteurs et plans d'évacuation), dès que la peinture a été terminée.
L'opération a également été complétée par plusieurs meubles en kit à répartir dans l'école, et dont le montage n'a pas posé de problème car identiques à ceux déjà montés pour une autre classe.
La conséquence de l'aménagement de cette classe est que le centre de loisirs doit lui aussi être déplacé, cela sera décrit dans le prochain article.
Si le projet d'origine prévoyait le montage d'une cloison par une entreprise, il a finalement été revu et la cloison annulée. Notre intervention s'est limitée à un rafraîchissage partiel de la peinture murale, ainsi qu'à la manutention du mobilier, tant du centre de loisirs que celui de la nouvelle classe.
Le mobilier du centre de loisirs a été transféré dans le bâtiment de la bibliothèque, le meuble des activités artistiques a été monté de deux étages, l'équipement scolaire est en partie du stock remonté des caves du château et en partie du matériel neuf.
Démontage en cours avant transfert au 3ème étage |
Même chose pour la salle polyvalente Claude Perryer où tous les appendices muraux ont été retirés pour permettre la remise en peinture.
Il s'en est évidemment suivi la remise en place des tableaux et autres équipements (convecteurs, stores,haut-parleurs, extincteurs et plans d'évacuation), dès que la peinture a été terminée.
L'opération a également été complétée par plusieurs meubles en kit à répartir dans l'école, et dont le montage n'a pas posé de problème car identiques à ceux déjà montés pour une autre classe.
Différentes étapes du montage |
06 août 2016
La nouvelle salle du conseil
La Salle du conseil de la mairie, appelée aussi salle des mariages, est un lieu qui est utilisé aussi pour des réunions ou des formations, une opération de rénovation a permis de l'adapter à cette variété d'usages.
Si c'est une entreprise qui a été chargée des travaux principaux, nous avons comme toujours dû nous occuper de quelques préparatifs et finitions. La préparation a évidemment consisté à enlever le mobilier, transféré temporairement au château, et à démonter tous les équipements fixes: rideaux et leurs supports, luminaires, prises et interrupteurs, modification des câblages, etc.
Le grand placard a également été démonté, il retrouvera une seconde vie au château, sous une forme quelque peu modifiée.
Pour les finitions, c'est évidemment la remise en place des équipements qui nous a été confiée: installations de nouveaux luminaires à LED très efficaces, pose de nouveaux interrupteurs et prises, installation et branchement de l'éclairage LED de la niche de la Marianne et de la connectique du vidéoprojecteur.
L'entreprise ayant terminé son travail (peinture plafond et purs, installation de caisson périphérique, dallage PV), nous avons ramené le mobilier. Il ne manque plus que des voilages aux fenêtres pour que l'opération soit complète.
Détail sur la Marianne mise en couleur, et en lumière ! Le volet en dessous de la niche est destiné à abriter un vidéoprojecteur. Une prise HDMI dans la plinthe permet d'y raccorder un ordinateur portable sans devoir le sortir pour le branchement.
Si c'est une entreprise qui a été chargée des travaux principaux, nous avons comme toujours dû nous occuper de quelques préparatifs et finitions. La préparation a évidemment consisté à enlever le mobilier, transféré temporairement au château, et à démonter tous les équipements fixes: rideaux et leurs supports, luminaires, prises et interrupteurs, modification des câblages, etc.
Le grand placard a également été démonté, il retrouvera une seconde vie au château, sous une forme quelque peu modifiée.
Pour les finitions, c'est évidemment la remise en place des équipements qui nous a été confiée: installations de nouveaux luminaires à LED très efficaces, pose de nouveaux interrupteurs et prises, installation et branchement de l'éclairage LED de la niche de la Marianne et de la connectique du vidéoprojecteur.
L'entreprise ayant terminé son travail (peinture plafond et purs, installation de caisson périphérique, dallage PV), nous avons ramené le mobilier. Il ne manque plus que des voilages aux fenêtres pour que l'opération soit complète.
Détail sur la Marianne mise en couleur, et en lumière ! Le volet en dessous de la niche est destiné à abriter un vidéoprojecteur. Une prise HDMI dans la plinthe permet d'y raccorder un ordinateur portable sans devoir le sortir pour le branchement.
03 août 2016
Un nouveau rucher 3ème partie
La dalle est prête, le chalet a été livré, il faut maintenant procéder à son montage.
L'affaire n'est pas gagnée car c'est un nouveau modèle et il n'y a pas de notice disponible ! Pour le coup, la difficulté est augmentée par le fait que les plans ne nous aident pas car ils ne présentent que les éléments pré-assemblés, et que les photos ne correspondent pas tout-à-fait à ce que les pièces nous permettent de faire.
Notre expérience sur les chalets précédents ne nous aide malheureusement pas tant les modèles sont différents, tant dans le procédé de montage que dans les formes: d'un simple rectangle, nous sommes là confrontés à un octogone !
En l'absence de méthodologie précise, nous perdons beaucoup de temps en diverses tentatives et en erreurs. Le climat n'aide pas, pluie ou chaleur écrasante, sans compter les attaques incessantes de moustiques assoiffés de sang...
Nous avons dû nous débrouiller pour approvisionner la visserie nécessaire et corriger de nombreux défauts. Malgré tout, la construction a été avancée le plus possible pour que le chalet soit fermé et hors d'eau.
La couverture fournie en bardeaux au lieu de rouleaux ne correspondait pas à ce qui était prévue, aussi avons-nous préféré nous procurer le bon matériau pour éviter les complications inutiles.
Malheureusement, toutes ces difficultés plus les autres chantiers en cours nous ont fait prendre du retard et les congés arrivant, il a fallu se résoudre à placer ce chantier en attente, protégé par des bâches en attendant le retour de congés et la fin des chantiers prioritaires sur le groupe scolaire.
L'affaire n'est pas gagnée car c'est un nouveau modèle et il n'y a pas de notice disponible ! Pour le coup, la difficulté est augmentée par le fait que les plans ne nous aident pas car ils ne présentent que les éléments pré-assemblés, et que les photos ne correspondent pas tout-à-fait à ce que les pièces nous permettent de faire.
Notre expérience sur les chalets précédents ne nous aide malheureusement pas tant les modèles sont différents, tant dans le procédé de montage que dans les formes: d'un simple rectangle, nous sommes là confrontés à un octogone !
En l'absence de méthodologie précise, nous perdons beaucoup de temps en diverses tentatives et en erreurs. Le climat n'aide pas, pluie ou chaleur écrasante, sans compter les attaques incessantes de moustiques assoiffés de sang...
Nous avons dû nous débrouiller pour approvisionner la visserie nécessaire et corriger de nombreux défauts. Malgré tout, la construction a été avancée le plus possible pour que le chalet soit fermé et hors d'eau.
La couverture fournie en bardeaux au lieu de rouleaux ne correspondait pas à ce qui était prévue, aussi avons-nous préféré nous procurer le bon matériau pour éviter les complications inutiles.
Malheureusement, toutes ces difficultés plus les autres chantiers en cours nous ont fait prendre du retard et les congés arrivant, il a fallu se résoudre à placer ce chantier en attente, protégé par des bâches en attendant le retour de congés et la fin des chantiers prioritaires sur le groupe scolaire.
24 juillet 2016
Un nouveau rucher 2e partie
Le site est maintenant déblayé de tout ce qui l'encombrait, l'aménagement peut commencer.
La périphérie de la dalle est formée par un rang de parpaings, les angles sont équipés de coffrages. Les canaux formés par les poutrelles et hourdis, sont débarrassés des débris accumulés avec le temps. Le ferraillage, déjà présent, est juste calé quelques centimètres au-dessus du fond.
Des fourreaux sont placés en attente pour amener l'électricité nécessaire pour les équipements d'extraction.
Le sol meuble ne permettant pas de faire entrer un camion, c'est avec un tapis roulant que le béton sera amené de la toupie au chantier.
Après quelques efforts pour répartir le béton, celui-ci est nivelé à la règle puis laissé à faire sa prise. On retrouvera le lendemain la surface couverte de traces de pattes d'oiseaux, un décor original !
Pour la petite histoire, quelques centaines de litres restant de béton ont été déversés dans plusieurs trous du chemin de la Haillette. Une goutte d'eau dans un océan de trous...
Pendant que le béton se solidifiait, le chalet était livré dans la cour du château, ou presque: une panne du chariot élévateur du livreur nous a obligé à ouvrir la palette et manutentionner les éléments. Merci à Eric, qui entre temps est retourné à son travail chercher un chariot élévateur pour descendre la palette du camion. La palette faisant plus de 4 mètre de long, pour 2m40 de large, 1m20 de haut et 1800kg, toute aide était vraiment la bienvenue !
Des parents d'élèves se rendant au centre de loisirs nous ont également porté assistance, nous les en remercions vivement !
Prochaine étape: transfert et montage...
La périphérie de la dalle est formée par un rang de parpaings, les angles sont équipés de coffrages. Les canaux formés par les poutrelles et hourdis, sont débarrassés des débris accumulés avec le temps. Le ferraillage, déjà présent, est juste calé quelques centimètres au-dessus du fond.
Des fourreaux sont placés en attente pour amener l'électricité nécessaire pour les équipements d'extraction.
Le sol meuble ne permettant pas de faire entrer un camion, c'est avec un tapis roulant que le béton sera amené de la toupie au chantier.
Après quelques efforts pour répartir le béton, celui-ci est nivelé à la règle puis laissé à faire sa prise. On retrouvera le lendemain la surface couverte de traces de pattes d'oiseaux, un décor original !
Pour la petite histoire, quelques centaines de litres restant de béton ont été déversés dans plusieurs trous du chemin de la Haillette. Une goutte d'eau dans un océan de trous...
Pendant que le béton se solidifiait, le chalet était livré dans la cour du château, ou presque: une panne du chariot élévateur du livreur nous a obligé à ouvrir la palette et manutentionner les éléments. Merci à Eric, qui entre temps est retourné à son travail chercher un chariot élévateur pour descendre la palette du camion. La palette faisant plus de 4 mètre de long, pour 2m40 de large, 1m20 de haut et 1800kg, toute aide était vraiment la bienvenue !
Des parents d'élèves se rendant au centre de loisirs nous ont également porté assistance, nous les en remercions vivement !
Prochaine étape: transfert et montage...
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