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28 avril 2023

En attendant la nouvelle cantine...

 Le projet d'agrandissement du groupe scolaire a pris du retard, pour des raisons que le service technique ne maîtrise pas. Mais quand on peut aider...

La difficulté était que le nombre d'enfants fréquentant la cantine ne pouvait être accueilli dans le réfectoire en deux services; il fallait en servir un certain nombre dans la grande salle du rez de chaussée, avec l'inconvénient des allées et venues entre les étages.
Le pire est que ce n'était pas par manque de place mais faute de mobilier adapté.
En effet, le réfectoire est équipé de tables et chaises de différentes hauteurs et il n'y en avait pas assez pour les grands.

En attendant la livraison de la nouvelle cantine, l'actuelle a été équipée d'un premier lot de nouvelles tables et de leurs chaises spéciales. Ces chaises permettent de faire manger les petits sur des tables de grands. Le service est plus confortable pour les adultes et les tables sont utilisables indifféremment pour petits et grands. Les nouvelles chaises surélevées ont également pour avantage de pouvoir se percher sur les tables pour faciliter le nettoyage du sol. Cela permet de ne pas avoir à les empiler puis déplacer pour laver par terre.
Sol dégagé, nettoyage plus facile

Cette polyvalence permet de se passer des 4 tables installées au rez de chaussée qui formaient un service à part. Libérer cette salle a par ailleurs permis d'en faire une nouvelle classe de maternelle.
Les repas sont donc pris dans une seule salle, en deux services banals. Les nouvelles tables n'ont rien de particulier si ce n'est qu'elles sont donc toutes à la hauteur standard "adulte". Les trois exemplaires commandés remplacent des anciennes tables en mauvais état.

Le jour de la livraison, les matériels ont été montés et mis en place sans interruption du service.


25 mars 2023

Coupure internet mars 2023: câbles disparus !

 La Mairie a été informée par différentes sources que le service internet était hors service. Il faut donc commencer par un petit rappel: la mairie n'est pas impliquée dans les services de télécommunications et les problèmes liés au téléphone et à internet doivent être signalés à l'opérateur de la ligne concernée, que ce soit de l'adsl sur fils de cuivre ou de la fibre optique.

A noter d'ailleurs que la mairie rencontre parfois ce genre de difficultés et que cette fois, c'est l'école qui fait partie des "victimes". Le dérangement est donc signalé à l'opérateur concerné.
Puis notre collègue Paul, voisin de l'école, signale aussi une coupure, rapidement suivi par d'autres riverains des rues Pasteur et Vaillant. Dès lors on est sûrs que ce n'est plus un problème de ligne individuelle et l'intervention de techniciens dans les coffrets de connexion ne saurait tarder.

Et effectivement, deux fourgons arrivent et nous ne manquons pas d'interroger les techniciens. Il apparaît rapidement que le problème est sérieux car les instruments de mesure indiquent une coupure franche des câbles. A l'ouverture des plaques des chambres de tirage où passent les gros câbles de transport et les petits câble de distribution vers les abonnés, le malaise augmente car le câble recherché est introuvable !

 D'autres chambres de tirage sont ouvertes en remontant la rue Pasteur vers Chessy et à chaque fois, le câble recherché, que les plans indiquent de plus en plus gros, n'est toujours pas là. Des gaines sont retrouvées vides, avec des traces d'occupation récente, les techniciens ne peuvent qu'en déduire un vol de câbles.

Retour au coffret du centre ville, nouvelle ouverture des plaques, nouvelles mesures, et après des efforts pour démêler les nombreux câbles, apparaît une coupure nette.

 Vu de plus près, le câble n'a rien à voir avec le fil qui va de la prise murale au combiné téléphonique où à la box internet: il y a ici 400 paires coupées, potentiellement autant de lignes d'abonnés... D'après les techniciens, à l'autre bout le câble est plus gros et ce serait alors 900 paires de fils de cuivre qui seraient sectionnées.


 Sur ce constat, les techniciens expliquent qu'une plainte sera déposée pour vol de câbles et que ceux-ci seront remplacés au plus vite. Cela sera du ressort de la police nationale. Cela est choquant pour nous qui avons vu des individus avec du gros matériel enlever et découper ces câbles. Les interventions sur les réseaux télécom sont tellement fréquents, pour ne pas dire permanents, qu'on ne se pose jamais la question de la légitimité des travaux et de ceux qui les font. D'ailleurs, ce n'est pas notre rôle.
 En discutant de la chose avec la police municipale, un lien se fait et il apparait qu'une entreprise avait demandé une autorisation de travaux pour de la dépose de câbles. Contact repris avec les techniciens, l'étude du dossier d'autorisation laisse penser à une grossière erreur d'interprétation d'un schéma technique. L'entreprise concernée a été informée et sommée de remettre l'installation en ordre de marche. Le délai de réparation devrait être d'environ une semaine.

Quelles conclusions en tirer ?
On a souvent eu des problèmes avec les lignes aériennes, cuivre ou fibre optique, on sait qu'il y a des actes de malveillance, mais on ne pensait pas que l'on aurait un tel problème avec des lignes enterrées. Cela veut dire qu'il y a une certaine vulnérabilité des réseaux, qu'ils soient anciens, aériens, ou fibrés et enterrés. Ce n'est pas un arbre couché par le vent, ce n'est pas un camion hors gabarit, juste une gaffe.
 Ce qu'on nous annonce comme temps de réparation est trop court pour mettre en place des solutions de dépannage comme les clés 4G que les opérateurs fournissent en cas de dérangement plus long. Ne reste que la patience...
Courage.

24 mars 2022

Nettoyer partout... tout le temps

 

 C'est comme à la maison, il faut tout entretenir. Il faut donc être partout.

 Par exemple, pour dégager les grilles d'avaloirs des eaux pluviales. Ces grilles retiennent des cailloux, des brindilles, de la terre et autres déchets et s'obstruent avec le temps. L'eau les franchit et vient grossir le débit plus bas dans la rue. Pour éviter cela, nous dégageons ces débris de temps en temps. Malheureusement, il en revient assez vite...
Toutes ces grilles ne sont pas autant exposées et la provenance des débris diffère aussi selon leur emplacement. Pour certaines, la complication est que ces plaques sont sécurisées par de la visserie qui rouille et se bloque. Or, on ne peut pas juste casser les vis et reposer les plaques. Même si elles sont lourdes, il pourrait arriver qu'elles sortent de leur logement et dépassent de la chaussée; un réel danger pour la circulation.


Dans un autre domaine, mais toujours en voirie, l'incroyable quantité de déchets collectés sur la voie publique. Si les mauvais gestes sont permanents, les jours de vent fort sont les pires car s'ils coïncident avec les jours de sortie des poubelles de tri sélectif, ces dernières ont tendance à se renverser et à libérer leur contenu particulièrement apte à se laisser transporter jusque dans la nature. C'est quelque chose qu'on ne peut pas laisser faire alors les jours de vent fort, en plus des  ramassages ponctuels, une tournée systématique du village est organisée.

Pour les fois où un incendie est découvert après coup, eh bien il n'y a plus qu'à ramasser. Ici les conteneurs de déchets de la salle polyvalente, un endroit fréquenté par les enfants. Bravo les affreux, arracher le portail avec un véhicule pour faire ça c'est très malin !

 Dans un autre registre, un nettoyage très peu connu dans l'habitat individuel: les gaines de VMC. La ventilation est en fait une aspiration centralisée qui force le renouvellement d'air des lieux de vie. Les grands volumes d'air traités s'accompagnent inévitablement d'un dépôt de poussière. On en voit déjà pas mal sur les buses d'aspiration et leur démontage pour accéder aux tubulures révèle une accumulation importante. Cette poussière peut être propagatrice de feu et fait donc partie des nettoyages obligatoires sur le groupe scolaire (école et château).

Retour à la voirie, avec un type de nettoyage urgent. Une toupie à béton trop chargée a perdu une partie de son chargement en remontant de la route de Lesches à la rue Charles Vaillant. Les coulures de béton séchées sont très désagréables en voiture et sont même une menace pour les deux-roues. Fort heureusement, celle-ci a été repérée avant la prise du ciment et nous avons pu la pelleter puis brosser et rincer. Le volume évacué avoisine deux bonnes brouettes.
Voilà comment on se retrouve à lâcher les activités en cours pour intervenir sur un incident avec déploiement de matériel pas forcément prêt à ce moment là (tonne et pompe vidées pour protection contre le gel). La plupart des usagers de la route ne sauront jamais ce qu'il s'est passé là mais si nous n'étions pas intervenus tous auraient pesté pendant des années !

Mais on ne s'arrête pas là. Il y a malheureusement des interruptions causées par des dépôts sauvages, c'est un sujet qui revient trop souvent, avec des conditions d'interventions parfois scabreuses, ici dans un fossé le long d'un axe très fréquenté.

Et enfin, un nettoyage annuel sur l'école, pour des parties accessibles depuis une échelle: verrière, ardoises, gouttières.
Le nettoyeur de terrasses, équipé d'une rallonge, donne des résultats impressionnants.
Voilà donc encore un aperçu de la grande diversité de nos actions, un peu partout sur le territoire communal. A l'occasion des confinements, ces actions ont été maintenues et nous avons reçu quelques témoignages de sympathie qui nous ont bien fait plaisir.


08 mars 2022

Feu des champs

 

 A circuler tous les jours dans les rues du village, on finit par voir des signes qui sortent de l'ordinaire, et parfois ça prend une tournure inattendue.

Une maison qui se construit, ça prend du temps, on a le temps de s'y habituer. Les aménagements urbains ou paysagers, on ne les voit même plus. Ce sont des choses normales et on n'y fait plus attention. Et parfois quelque chose attire le regard, on ne sait pas vraiment pourquoi, mais quand on s'y attarde un peu, ce n'est pas normal et la situation bascule.

Ce 17 avril 2020, en passant par le chemin de la Haillette, des fumerolles issues d'un tas de fumier en bordure du champ se font remarquer par une activité inhabituelle. Il y en a bien plus que d'habitude et l'odeur de brûlé indique clairement qu'il ne s'agit pas de la vapeur habituellement observée. Le feu couve sous le tas !

L'info est transmise et les pompiers qui arrivent rapidement décident d'intervenir car les fumées se dirigent vers les habitations. Il n'y a pas de risque de propagation du feu aux maisons qui sont assez éloignées mais les fumées pourraient causer des désagréments aux habitants. 
Le FPT (fourgon pompe tonne) qui se présente sur les lieux a un équipage de trois personnes dont deux vont attaquer le feu au râteau ! C'est un travail particulièrement laborieux et la quantité de matériau à traiter se révèle plus importante qu'au premier abord.


Pendant que l'officier cherche à trouver les propriétaires du champ et du fumier, nous voyons clairement que les pompiers ne peuvent pas s'en sortir avec si peu de moyens. Nous filons à la plateforme de compostage pour demander l'aide d'un engin de manutention afin d'étaler le fumier. En effet, la paille qu'il contient forme en surface une croûte imperméable à l'eau et la lance incendie, malgré sa puissance, ne peut atteindre les couches inférieures embrasées.

Pour le coup, l'origine criminelle peut être facilement écartée: le feu n'est pas en surface, il est uniquement sous couvert. Il s'agit d'une combustion spontanée car l'endroit réunit les trois conditions du triangle du feu: le combustible, l'oxygène et la chaleur. De plus, le feu est bien réparti sur la surface du dépôt, sans rien d'apparent, juste les fumées qui traversent, aucune flamme n'est visible.
Vent, gaz et chaleur de la décomposition
du fumier = auto-allumage

Le FPT dispose d'une réserve d'eau embarquée pour l'attaque rapide, mais la surface à traiter nécessitera quand-même plusieurs allers-retours à la borne incendie la plus proche pour faire le plein. Entre temps, nous avons amené notre tonne à eau et utilisé la motopompe pour aider à traiter des zones inaccessibles à la lance. En fin d'intervention, les dernières fumerolles sont noyées avec nos moyens; notre débit étant plus important mais moins fort, le jet ne projette pas les cendres et ne propage donc pas le feu, par contre il refroidit efficacement et enlève donc le côté chaleur du triangle du feu.
Il n'y a aucun dégât ni victime à déplorer et l'expérience est formatrice. Le dispositif d'intervention est levé en quelques heures, il ne semble plus y avoir d'activité.

Le lendemain, de nouvelles fumerolles sont repérées. Le tracteur et la tonne à eau sont immédiatement mobilisés pour noyer les quelques foyers ayant réussi à se réactiver avec le vent. Cette fois c'est la bonne, le feu est définitivement éteint.

 

Cet article aurait dû paraître il y a bien longtemps mais les circonstances n'y étaient pas favorables. Les publications ont maintenant repris mais 2020 restera une année sans articles pour souligner qu'un événement majeur a perturbé la vie du monde entier.

17 juin 2021

Commission de sécurité

Les bâtiments du groupe scolaire (école et centre de loisirs) sont classés "établissement recevant du public" et donc soumis à une commission de sécurité qui vérifie la conformité des moyens de prévention et de secours incendie. Le service technique intervient à plusieurs niveaux de cette procédure.

En premier lieu, il y a bien sûr la surveillance et l'entretien courant des installations. Les personnels sur place nous informent régulièrement de leurs observation et nous essayons d'y répondre dans les meilleurs délais ou de faire intervenir un prestataire si besoin.

Les diverses installations sont par ailleurs l'objet d'une surveillance constante par des organismes spécialisés. Ainsi, une société entretient les extincteurs, alarme incendie et désenfumages, une autre entreprise les contrôle tous les ans.
L'installation électrique, l'installation gaz, le parafoudre, l'ascenseur et le monte-charge sont contrôlés tous les ans. A cela s'ajoutent toutes les interventions régulières sur les matériels sous contrat de maintenance, et presque toutes ces interventions se font en notre présence pour l'accès aux locaux et la connaissance des observations. Chaque passage d'un intervenant extérieur est consigné dans un registre de sécurité


Les contrôles réguliers donnent lieu à des rapports de visite qui servent à attester de la conformité des installations et à signaler d'éventuels défauts. Le cas échéant, nous corrigeons ou faisons corriger ce qu'il faut pour toujours rester dans les limites fixées.


A intervalles plus espacés, la commission de sécurité effectue un examen global des bâtiments. C'est un représentant des Sapeurs-Pompiers, spécialement formé à cet exercice et à la réglementation, qui procède à l'examen des documents et des installations. Nous l'accompagnons dans sa visite et répondons à ses questions. Nous apprenons beaucoup à cette occasion sur ce qu'il est possible de faire ou pas, sur l'évolution de réglementations obscures ou sur l'interprétation de certains textes qui peuvent aider à reconsidérer certains choix. Il faut dire que l'officier dispose d'un ouvrage de référence comparable à un dictionnaire, assorti de nombreux marque-pages et annotations.

Dans la pratique, une telle surveillance nous amène à garder les équipements au meilleur niveau et cela peut se traduire par la mise à jour des plans d'évacuation suite à l'ajout d'un étage au château, et au remplacement d'une trentaine de bloc d'éclairage de secours arrivés en fin de vie. Une amélioration de la signalétique des tableaux électriques et une meilleure maîtrise de l'éclairage de secours ont été obtenues grâce à cette pression permanente. Au final, les rapports de contrôle périodique ou de la commission de sécurité nous aident non seulement à nous maintenir au niveau requis mais aussi à nous améliorer.

La partie "éducation nationale" est également impliquée avec l'organisation des exercices d'évacuation en lien avec la mairie, la remontée d'informations sur l'état des matériels, et l'organisation de visites de sécurité avec les parents d'élèves. Cette visite donne également lieu à un rapport et un cahier de liaison a été mis en place entre l'école et la mairie pour suivre les besoins et l'avancement des travaux d'entretien.

Tout cela pour dire à quel point la sécurité est vraiment une préoccupation majeure et que notre mission nous conduit à des interventions presque quotidiennes. On a peut-être du mal à suivre au niveau de l'entretien des espaces verts, c'est en partie parce qu'on ne néglige pas la sécurité des enfants.

 

 Cet article aurait dû paraître il y a bien longtemps mais les circonstances n'y étaient pas favorables. Les publications peuvent maintenant reprendre mais 2020 restera une année sans articles pour souligner qu'un événement majeur a perturbé la vie du monde entier.

11 juin 2021

10 ans déjà !

Et oui, ce blog a déjà 10 ans !
Le premier article a été posté le 17 janvier 2010. L'objectif était de montrer au public ce qu'il ne voit généralement pas: l'action du service technique communal. Il s'agissait aussi de montrer que la profession n'est pas telle que décrite par les humoristes...

Pendant que vous êtes au travail, parfois pendant que vous dormez, certains week-ends, le service technique c'est l'action "physique" de la Mairie. Ce n'est pas toujours visible, la plupart des équipements techniques sont hors de vue, et on n'en prend conscience que lors d'une panne. Sitôt le problème réglé, c'est vite oublié.
Parfois c'est bien visible car nous devons intervenir dans la rue et gêner la circulation. Il y en a beaucoup, juste de passage, qui ne comprennent pas la raison de notre présence à ce moment là, ni surtout le fait qu'on ait besoin de passer par là et d'occuper la chaussée pour travailler en sécurité. Bien évidemment, ce n'est que par pure nécessité, il faut bien faire le travail à un moment où un autre.

Ce blog montre tout cela, entre autres, et si son objectif n'a pas changé, on peut tout de même voir que certaines choses ont évolué en 10 ans.
Le service technique a vu beaucoup de changement dans son équipement. Cela a permis de gagner en efficacité et en réactivité. En prenant en charge certains travaux, on ne dépend plus de prestataires extérieurs, de leurs délais et difficultés à s'adapter à nos besoins.
Ainsi, nous sommes passés des petits bricolages classiques à des travaux bien plus importants, bien visibles désormais.
   Évolution également dans l'équipe, avec des départs et des nouveaux savoirs-faire qui permettent d'élargir le champ d'action. On reste cependant loin de la structure d'une grande ville et devons reconnaître une certaine difficulté à être présents partout où il faudrait.
   Évolution enfin dans l'environnement de notre mission: urbanisation, augmentation de la fréquentation, modification des comportements, augmentation des incivilités et dégradations en tous genres, tant sur la voie publique que dans l'école.

En plus des gros chantiers qui nous sont confiés, devoir ramasser les quantités incroyables d'immondices le long des routes et les dépôts sauvages un peu partout nous laisse beaucoup moins de temps pour gérer les espaces verts.
 A ce propos, nous payons depuis quelques années l'interdiction de l'usage de désherbant, comme la plupart des autres communes françaises. Les méthodes alternatives que nous avons testées jusque là se sont toutes avérées inefficaces ou trop contraignantes. Nous n'avons pas encore exploré toutes les options mais savons déjà qu'il n'y en aura jamais plus d'aussi universelle et facile que le désherbant. Nous continuons donc à étudier cette question pour contourner la méthode la moins efficace qui soit qu'est le désherbage manuel.

Le village lui-même est en pleine évolution, il y aura donc prochainement plein de nouveaux sujets à traiter, pensez à revenir par ici de temps en temps ou inscrivez-vous en bas de page pour être averti des prochaines publications.

Ce blog est le témoin de toutes ces évolutions et vous pouvez remonter un peu le temps en consultant les anciens articles. Les archives sont accessibles par années ou mots-clés dans la colonne de droite. Cet article est à peu près le 180e, vous avez donc de quoi lire ;-)
N'hésitez pas non plus à lire les PAGES de ce blog, qui à la différence des articles restent d'actualité en permanence (dans la colonne de droite également, tout en haut).

Les statistiques de l'hébergeur de ce blog sont plutôt difficiles à interpréter. Sur les plus de 46.000 visites comptabilisées, un très grande partie serait due aux moteurs de recherche. Le nombre moyen de lectures directes des articles tourne autour de 25. C'est très peu, difficile de rester motivé avec si peu d'audience, et pourtant, un grand merci à ceux qui suivent nos aventures depuis tout ce temps. Il y a bien d'autres choses à venir...


Cet article aurait dû paraître il y a bien longtemps mais les circonstances n'y étaient pas favorables. Les publications peuvent maintenant reprendre mais 2020 restera une année sans articles pour souligner qu'un événement majeur a perturbé la vie du monde entier.