Les travaux d'assemblage de la mezzanine se révèleront assez difficile à cause de l'encombrement du local que l'on continue d'utiliser. Autre difficulté, la pente du sol qui nécessitera un important calage et enfin la présence d'une bordure en béton à la base des murs, nous obligeant à modifier la configuration des piétements métalliques. Il s'agit d'éléments standards de rayonnage industriel. Le coup de chance formidable est qu'ils sont rentrés juste, juste: à moins de trois centimètres de marge de manoeuvre, on n'a pas eu à recouper ni rallonger !
Les éléments sont grands, lourds, et ne tolèrent pas les écarts: ils ressortent des logements si on force pour les rentrer. Le réglage est donc délicat. Il ne sera pas possible d'obtenir un niveau parfait mais compte tenu des conditions, le résultat est jugé très satisfaisant.
Le futur étage commence à se matérialiser avec la pose des premières poutrelles tubulaires...
... bientôt rejointes par un escalier de la même provenance que la structure. Autre coup de chance inespéré, il était à la dimension exacte ! Seules des adaptations mineures pour la fixation ont été nécessaires. La pose de l'escalier a permis de placer le reste des poutrelles puis d'entamer la pose du plancher.
Constitué d'un parquet en pin déclassé, le plancher est posé à partir du mur opposé à l'escalier pour une meilleure référence de départ (murs très irréguliers et bâtiment pas d'équerre du tout). Le travail est un brin malaisé. En partie à cause du vide, mais aussi à cause de la très faible hauteur sous la toiture qui oblige à circuler à quatre pattes.
Heureusement, l'autre moitié est plus confortable. Au milieu du plancher, une ouverture est aménagée pour créer une trappe pour le passage ultérieur de matériels lourds.
L'installation électrique d'origine est supprimée et remplacée par un circuit adapté à nos besoins: éclairage fluorescent et prises électriques en nombre.
C'est encore encombré mais on commence à voir se dessiner les différentes zones de travail et de stockage.
A l'étage, un rayonnage inutilisé par l'épicerie, car incomplet et en surnombre, est modifié et mis en place pour accueillir le stock des petites forurnitures.
A ce stade, il faut apporter les matériels entassés dans le préfabriqué et essayer de trouver une place pour chaque chose, qui soit pratique et logique.
L'aménagement est loin d'être fini mais ça ressemble de plus en plus à un véritable service technique.
A suivre, donc...
11 mars 2012
03 mars 2012
Un coup de peinture en passant
Bien qu'elle ait commencé les travaux de rénovation de l'épicerie, Nathalie a profité des vacances scolaires pour repeindre le bureau de la directrice de l'école, situé dans le château.
Enlèvement des meubles, grattage des fissures et zones abîmées, enduit, peinture des murs et montants de fenêtres, pose d'une goulotte pour la connexion internet du centre de loisirs, nettoyage et remise en place des meubles.
Les travaux à l'école ne peuvent interrompre l'enseignement et doivent gêner le moins possible. Les interventions se font donc autant que possible lors des récréations pour les petits détails, le mercredi ou pendant les vacances lorsqu'il faut plus de temps. Programmées ou non, les interventions au groupe scolaire prennent généralement le pas sur les autres chantiers en cours, ceci afin de ne pas déranger, pour ne pas être dérangé, et souvent par mesure de sécurité.
Enlèvement des meubles, grattage des fissures et zones abîmées, enduit, peinture des murs et montants de fenêtres, pose d'une goulotte pour la connexion internet du centre de loisirs, nettoyage et remise en place des meubles.
Les travaux à l'école ne peuvent interrompre l'enseignement et doivent gêner le moins possible. Les interventions se font donc autant que possible lors des récréations pour les petits détails, le mercredi ou pendant les vacances lorsqu'il faut plus de temps. Programmées ou non, les interventions au groupe scolaire prennent généralement le pas sur les autres chantiers en cours, ceci afin de ne pas déranger, pour ne pas être dérangé, et souvent par mesure de sécurité.
26 février 2012
Des glaciers à Chalifert !
Cela peut paraître incongru, mais il est difficile de qualifier autrement les épanchements de glace dûs aux souces dont le froid n'arrête pas l'écoulement.
Le plus spectaculaire est celui de la rue Charles Vaillant, près de la jonction avec la route de Lesches. Il s'agit là d'une source permanente dont les tentatives de drainage ont été infructueuses. L'écoulement se fait habituellement par les caniveaux, la traversée de la rue par un conduit enterré. Le frois a gelé tout cela et l'écoulement est revenu en surface, s'étalant de plus en plus sur la route, atteignant par endroits la moitié de la chaussée.
A cet endroit en pente, en virage et en dévers, la présence de glace est particulièrement dangereuse aussi la zone est-elle marquée par une signalisation provisoire et raclée/salée deux fois par jours.
Le tas de glace sur l'accotement donne une idée de la quantité de glace retirée. Certaines plaques dépassent 7 centimètres d'épaisseur.
Probablement issue de la même nappe, la source s'écoulant allée Saint-Eloi à l'entrée de la tour Taratte éait drainée jusqu'à ce que des travaux privés cassent le conduit. L'eau qui s'en échappe s'écoule normalement sans gêner mais le gel l'a fait traverser.
Coup de chance, le salage au point de sortie nous a permis d'enlever la plaque de glace d'un seul coup et elle ne s'est pas reformée.
Toujours sur l'allée Saint-Eloi, la source qui pose problème à longueur d'année (dégradation de la voie) est beaucoup plus difficile à traiter. Si son débit est relativement faible, elle forme cependant des flaques d'eau qui ne gèlent pas à cause du passage des véhicules . Par contre, les éclaboussures s'étalent et forment une plaque, particulièrement épaisse autour de la flaque et qui augmente la profondeur des trous.
Là aussi, de nombreuses séances de piochage et l'évacuation de la glace sont la seule façon de limiter la formation des trous. Le salage intensif est malheureusement presque sans effet car l'eau ne s'évacue pas. Seule l'évacuation de la glace permet de limiter les dégâts.
Ce n'est pas la première fois que le gel dû aux sources pose problème. La durée, par contre, est assez rare et rend le phénomène plus sensible. Difficile de lutter contre la Nature !
Nous ne sommes pas les plus à plaindre, la ville de coupvray est confrontée à un glacier bien plus envahissant et difficile à combattre puisqu'il dépasse les cent mètres de long avec un débit bien plus important que les nôtres. Ce n'est pas une consolation mais ça aide à relativiser...
Le plus spectaculaire est celui de la rue Charles Vaillant, près de la jonction avec la route de Lesches. Il s'agit là d'une source permanente dont les tentatives de drainage ont été infructueuses. L'écoulement se fait habituellement par les caniveaux, la traversée de la rue par un conduit enterré. Le frois a gelé tout cela et l'écoulement est revenu en surface, s'étalant de plus en plus sur la route, atteignant par endroits la moitié de la chaussée.
A cet endroit en pente, en virage et en dévers, la présence de glace est particulièrement dangereuse aussi la zone est-elle marquée par une signalisation provisoire et raclée/salée deux fois par jours.
Le tas de glace sur l'accotement donne une idée de la quantité de glace retirée. Certaines plaques dépassent 7 centimètres d'épaisseur.
Probablement issue de la même nappe, la source s'écoulant allée Saint-Eloi à l'entrée de la tour Taratte éait drainée jusqu'à ce que des travaux privés cassent le conduit. L'eau qui s'en échappe s'écoule normalement sans gêner mais le gel l'a fait traverser.
Coup de chance, le salage au point de sortie nous a permis d'enlever la plaque de glace d'un seul coup et elle ne s'est pas reformée.
Toujours sur l'allée Saint-Eloi, la source qui pose problème à longueur d'année (dégradation de la voie) est beaucoup plus difficile à traiter. Si son débit est relativement faible, elle forme cependant des flaques d'eau qui ne gèlent pas à cause du passage des véhicules . Par contre, les éclaboussures s'étalent et forment une plaque, particulièrement épaisse autour de la flaque et qui augmente la profondeur des trous.
Là aussi, de nombreuses séances de piochage et l'évacuation de la glace sont la seule façon de limiter la formation des trous. Le salage intensif est malheureusement presque sans effet car l'eau ne s'évacue pas. Seule l'évacuation de la glace permet de limiter les dégâts.
Ce n'est pas la première fois que le gel dû aux sources pose problème. La durée, par contre, est assez rare et rend le phénomène plus sensible. Difficile de lutter contre la Nature !
Nous ne sommes pas les plus à plaindre, la ville de coupvray est confrontée à un glacier bien plus envahissant et difficile à combattre puisqu'il dépasse les cent mètres de long avec un débit bien plus important que les nôtres. Ce n'est pas une consolation mais ça aide à relativiser...
15 février 2012
Restructuration du service technique 1
Nous nous étions déjà lancés dans des chantiers relativement importants pour une prtite structure comme la nôtre, chaque étape nous apportant une meilleure maîtrise de certaines techniques et parfois même du nouveau matériel. Mais suite au déménagement de l'atelier, initialement allée saint Jacques et maintenant devenu une habitation, nos locaux se résumaient à un caisson préfabriqué, à un garage à côté de l'église et à la cour de la mairie.
Le garage sert au début à ranger les tracteurs et leur remorque, les accessoires de la chargeuse bobcat et divers objets et produits.
S'il fallait travailler sur des objets de grandes dimensions, à l'abri, il fallait s'installer le matin et tout remballer le soir pour rentrer les tracteurs. Il fallait travailler par terre en l'absence d'établi.
L'outillage et les fournitures diverses sont stockées dans un préfabriqué, d'abord en vrac, puis la nécessité du service nous a amené à organiser un semblant d'atelier. L'éclairage a été installé après plus de deux ans, il n'y a toujours pas de prise électrique, ce qui oblige à dérouler une rallonge dès qu'un appareil électrique est nécessaire...
La place y est bien sûr insuffisante, non seulement pout y travailler, mais également pour y ranger le matériel, dont une bonne partie est stockée en extérieur sous abri ou dans les vestaire et réfectoire.
Toutes les réalisations effectuées jusqu'à présent l'ont été dans ces conditions, cela n'a pas toujours été facile.
Lorsque Monsieur le Maire nous a proposé d'exploiter le potentiel de la hauteur du garage pour y aménager un véritable atelier et d'améliorer ainsi nos conditions de travail, nous avons étudié la question et suggéré ceci:
Une enveloppe de prix a été déterminée pour la réalisation d'une structure métallique, un plancher et une nouvelle couverture. Le feu vert fût donné jusqu'à ce qu'un problème budgétaire retarde le lancement.
L'opportunité de récupérer des éléments de rayonnages métalliques de stockage chez un particulier donateur a relancé le projet moyennant quelques modifications.
Dans les grandes lignes, il s'agit de créer un étage grâce à une plateforme en mezzanine. Cet étage servira essentiellement au stockage de matériels saisonniers et aux petites fournitures. Le rez-de-chaussée sera aménagé en atelier où les équipements pourront être installés à poste et utilisés dans de meilleures conditions.
Les travaux ont commencé pendant l'été 2011, l'avancement se faisant en complément des actions habituelles est relativement lent mais la progression est encourageante. D'autres messages feront état des progrès de ce gros projet (pour nous).
A suivre
Le garage avant les travaux... |
Le seul endroit où l'on pouvait travailler: par terre ! |
Le préfabriqué-atelier |
La place y est bien sûr insuffisante, non seulement pout y travailler, mais également pour y ranger le matériel, dont une bonne partie est stockée en extérieur sous abri ou dans les vestaire et réfectoire.
Toutes les réalisations effectuées jusqu'à présent l'ont été dans ces conditions, cela n'a pas toujours été facile.
Lorsque Monsieur le Maire nous a proposé d'exploiter le potentiel de la hauteur du garage pour y aménager un véritable atelier et d'améliorer ainsi nos conditions de travail, nous avons étudié la question et suggéré ceci:
Une enveloppe de prix a été déterminée pour la réalisation d'une structure métallique, un plancher et une nouvelle couverture. Le feu vert fût donné jusqu'à ce qu'un problème budgétaire retarde le lancement.
L'opportunité de récupérer des éléments de rayonnages métalliques de stockage chez un particulier donateur a relancé le projet moyennant quelques modifications.
Dans les grandes lignes, il s'agit de créer un étage grâce à une plateforme en mezzanine. Cet étage servira essentiellement au stockage de matériels saisonniers et aux petites fournitures. Le rez-de-chaussée sera aménagé en atelier où les équipements pourront être installés à poste et utilisés dans de meilleures conditions.
Les travaux ont commencé pendant l'été 2011, l'avancement se faisant en complément des actions habituelles est relativement lent mais la progression est encourageante. D'autres messages feront état des progrès de ce gros projet (pour nous).
A suivre
12 février 2012
Salle polyvalente: rénovation des toilettes
Dans la continuité des travaux entrepris pour la rénovation de la salle Claude Perryer, c'est le bloc sanitaire qui a vu son aspect rafraîchi.
Sous l'effet du temps, de l'humidité et de la ventilation forcée, les murs et le plafond s'étaient teintés de couleurs peu présentables: blanc cassé sur les murs, gris pour les dalles du faux plafond.
Le démontage des dalles de plafond a nécessité la dépose des hublots d'éclairage. Certains présentaient un vieillissement du plastique tel qu'il partait en miettes au moindre contact, laissant les conducteurs électriques à nu. Les hublots défectueux ont été remplacés par des neufs.
Après quelques reprises d'enduit, une peinture blanche a été appliquée, rendant une impression de clarté qui avait peu à peu diminué. Le tout est nettement plus agréable et digne de la salle polyvalente, surtout lorsqu'elle reçoit du public.
Sous l'effet du temps, de l'humidité et de la ventilation forcée, les murs et le plafond s'étaient teintés de couleurs peu présentables: blanc cassé sur les murs, gris pour les dalles du faux plafond.
Pendant le remplacement des dalles du plafond |
Comme neuf ! |
Après quelques reprises d'enduit, une peinture blanche a été appliquée, rendant une impression de clarté qui avait peu à peu diminué. Le tout est nettement plus agréable et digne de la salle polyvalente, surtout lorsqu'elle reçoit du public.
01 février 2012
Elagage des arbres du centre-ville
Après la chute des feuilles, une taille des branches est nécessaire pour que les arbres restent "sous contrôle", si ce n'est en forme, du moins en hauteur.
Cette taille n'avait pas été faite l'année dernière et certaines branches avaient atteint un diamètre assez important pour nécessiter l'emploi de la tronçonneuse.
A l'échelle ou avec un échafaudage, il faut grimper en équilibre précaire pour atteindre la zone de coupe.
Cette taille n'avait pas été faite l'année dernière et certaines branches avaient atteint un diamètre assez important pour nécessiter l'emploi de la tronçonneuse.
A l'échelle ou avec un échafaudage, il faut grimper en équilibre précaire pour atteindre la zone de coupe.
L'échafaudage léger fait gagner du temps... |
Le vent, la pluie, la circulation, le stationnement et les obstacles divers rendent difficile l'accès à certains arbres et exigent une certaine réflexion pour choisir la meilleure voie d'attaque.
...mais l'échelle reste souvent la seule solution. |
![]() |
Tombera, tombera pas ? |
Plusieurs de ces arbres sont creux et très malades malgré les repousses et feuillages qui reviennent chaque année. L'élagage a également pour but de leur éviter la surcharge et la casse.
Les branchages coupés ont nécessité de nombreux voyages à la plateforme de compostage de déchets végétaux.
Les arbres ainsi taillés présentent pour quelques temps leur aspect fantômatique d'hiver qui sera ensuite remplacé par des pousses de brindilles, de bourgeons, de feuilles, ce sera le printemps...Les "coraux" urbains ne se voient qu'en hiver... |
15 janvier 2012
La valse des jardinières
Ces derniers temps, les automobilistes semblent bien distraits, le mobilier urbain en fait les frais.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6iplPDg9Lebb7v5peSroS3YX7xaDdfJREb-P67Xy84o4uz7reNl_wV368k1ILZeKahbKKA3_Q60Sx4CLrgqC81OOUt-To6gXRiy3qFd_3yJeUr3zcxX4PT0H2H9z2VR0NNeXenz_Dl7FO/s320/DSC00398.JPG)
On ne compte plus le nombre de fois que la volute protégeant la jardinière du carrefour centre-ville a été arrachée de ses supports. ces derniers sont d'ailleurs bien endommagés: déformations, cassure des soudures, impacts... Ce sont principalement les bus qui montent sur le trottoir pour laisser passer un camion venant d'en face et heurtent cette volute.
Difficile également de compter le nombre de fois où la jardinière à l'entrée du parking place du Colombier est emportée par des conducteurs trop pressés de partir. On peut difficilement prétexter une mauvaise visibilité, les jardinières étaient là avant le parking, elles étaient donc visibles avant d'y entrer et la grande majorité des véhicules passent largement à côté (de face, il y aurait la place de passer trois voitures). En été, lorsque les jardinières contiennent des fleurs hautes et colorées, on ne peut pas les manquer (de les voir) et c'est bien ce que certains font (avec leur voiture).Impossible, carrément, de dénombrer ceux qui butent contre les jardinières du parking. Heureusement qu'elles sont juste posées car elles servent régulièrement de heurtoir, c'est l'ancêtre du radar de recul.
Rue Charles Vaillant, deux jardinières ont été déplacées de près d'un mètre, alors qu'elles sont scellées autour d'un fer à béton ! Les races de peinture sur l'une d'elle viennent d'un bus, la localisation laisse penser qu'il s'agit là encore d'un problème de croisement avec un véhicule de gros gabarit, probablement accentué par un véhicule en stationnement gênant...
Devant la mairie, une jardinière a été poussée de plus d'un mètre, certainement lors d'une marche arrière. Depuis que le massif en pierres a été supprimé, on voit des véhicules venir se garer jusque sous les fenêtres de la mairie ! Dire qu'on croyait avoir assez rallongé les places pour que les voitures ne dépassent plus sur la route...
Chemin de Meaux, c'est en voulant faire passer une pelleteuse sur le chemin de halage que son conducteur a voulu déplacer les jardinières resserrant le gabarit à l'entrée. Malheureusement pour lui, ces jardinières étaient lourdement scellées et n'ont pas résisté aux efforts du puissant godet métallique.
Rue Pasteur, c'est un bout de mur qui a été arraché, on ne sait comment et qu'il a fallu recoller.
Ce sont là des situations qui se produisent dans toutes les communes car le mobilier urbain est par nature exposé aux incidents de la circulation routière. Plus dramatique est le sort subi par une de nos jardinières, enlevée en 2010 rue Charles Vaillant et dont on n'a toujours pas de nouvelles.
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