Dans la suite des aménagements entrepris à la mairie, c'est au tour de la cour d'être revisitée. Servant encore au service technique pour l'instant, cette cour est appelée à devenir un espace d'agrément ouvert au public.
Les travaux ont commencé par le piquetage de la façade de la salle du conseil. L'enduit très dégradé ne devait sa relative étanchéité qu'à de nombreux rebouchages des fissures au mastic. Un échafaudage en bois permet d'accéder à toute la surface à traiter, il restera plusieurs mois car le climat ralentit le travail. Non seulement les intempéries empêchent l'application des matériaux à base de ciment ou de chaux, mais elles requièrent notre intervention en d'autres lieux. Et lorsque le jointoyage est possible, il faut un certain temps de séchage entre deux couches...
S'en est suivie la démolition de la cuisine, une extension maçonnée aux finitions discutables, non isolée et qui prenait l'eau.
Cette
démolition a mis au jour un mur "intérieur" qu'il fallait adapter à sa
nouvelle condition extérieure, bien qu'il soit abrité par l'auvent, afin
de correspondre avec le reste de la façade. Vu l'état de celle-ci,
c'est finalement toute la façade qui est reprise et mise en pierre apparente. La démolition a bien sûr été précédée de l'installation d'une nouvelle porte donnant sur l'extérieur.
Dés défauts de maçonnerie sont réparés au passage, comme les fuites aux appuis de fenêtre qui sont remplacés par des appuis préfabriqués en béton..
L'intervention sur la maçonnerie a également mis au jour une ouverture inconnue sur la fosse septique d'origine du bâtiment. Cette ouverture a été condamnée définitivement, ainsi que celle de la cave, sous l'ancienne cuisine.
A suivre...
26 août 2018
08 août 2018
Bureaux musicaux
Non, nous n'avons pas installé de sonorisation pour diffuser de la musique d'ambiance. L'aménagement du deuxième étage de la mairie a donné lieu à une réaffectation des bureaux du premier étage et du rez de chaussée, comme un jeu de chaises musicales.
Le bureau du Maire et du premier adjoint étant passés au deuxième étage, les pièces libérées au premier étage ont été respectivement affectées à la secrétaire de mairie et aux archives. Cela a donc nécessité quelques aménagements de notre part. Le remplacement de l'installation électrique a laissé les murs couverts des traces des anciennes moulures, et finalement, tout l'étage a été repeint après rebouchage des innombrables trous. Ce qui restait d'un cabinet de douche, du temps où cet étage était un logement, a été démonté et la pièce réaménagée en rangement.
Le bureau libéré au rez de chaussée a donc été repeint aussi et réaménagé en salle de réunion, accessible aux personnes à mobilité réduite, et utilisable quand la salle du Conseil est déjà occupée.
D'un autre côté, le bureau de police municipale a été déplacé aussi, derrière l'accueil. A la place, c'est un réfectoire du personnel qui a été aménagé, avec modification de l'installation électrique, création de la plomberie et de l'évacuation.
Quant à l'ancienne cuisine, dans une extension en mauvais état du bâtiment, elle a été démolie pour laisser place à un aménagement extérieur qui sera l'objet d'un autre article.
Le bureau du Maire et du premier adjoint étant passés au deuxième étage, les pièces libérées au premier étage ont été respectivement affectées à la secrétaire de mairie et aux archives. Cela a donc nécessité quelques aménagements de notre part. Le remplacement de l'installation électrique a laissé les murs couverts des traces des anciennes moulures, et finalement, tout l'étage a été repeint après rebouchage des innombrables trous. Ce qui restait d'un cabinet de douche, du temps où cet étage était un logement, a été démonté et la pièce réaménagée en rangement.
Le bureau libéré au rez de chaussée a donc été repeint aussi et réaménagé en salle de réunion, accessible aux personnes à mobilité réduite, et utilisable quand la salle du Conseil est déjà occupée.
D'un autre côté, le bureau de police municipale a été déplacé aussi, derrière l'accueil. A la place, c'est un réfectoire du personnel qui a été aménagé, avec modification de l'installation électrique, création de la plomberie et de l'évacuation.
Quant à l'ancienne cuisine, dans une extension en mauvais état du bâtiment, elle a été démolie pour laisser place à un aménagement extérieur qui sera l'objet d'un autre article.
28 juillet 2018
Nouvel étage de la mairie - partie 3
L'aménagement du grenier de la mairie en surface de bureaux s'est poursuivi, avec quelques changements au programme.
Des fuites de la toiture et des défauts de la charpente ont conduit à des réparations et à une nouvelle couverture. Une entreprise spécialisée s'est occupée du toit et de l'installation des fenêtres, une autre de la pose des plaques de plâtre, de la peinture et de la moquette.
Au moment de poursuivre l'installation électrique de ce deuxième étage, nous avons découvert que l'existant d'origine au premier étage était en très mauvais état et présentait même des risques de départ de feu. Un seul fusible pour tout l'étage (prises et lumières), des fils enveloppés de tresse de coton, c'était le standard à l'époque ! Impossible de raccorder une extension sur un câblage aussi dégradé, une autre entreprise spécialisée a donc déposé l'ancienne installation et mis en place un circuit conforme aux normes actuelles, avec toutes les protections nécessaires.
L'installation électrique terminée, nous avons pu procéder à quelques finitions, dont le décapage de la vieille peinture sur l'escalier en bois avant la pose d'un nouveau garde-corps, réalisé par Stéfano Tulisso dans la continuité de la main courante existante.
Le nouvel étage comporte donc deux bureaux et une salle de réunion, ainsi que de quoi stocker les documents afférents, ce qui a libéré d'autres pièces au premier étage. Un prochain article présentera la suite des travaux en mairie.
Des fuites de la toiture et des défauts de la charpente ont conduit à des réparations et à une nouvelle couverture. Une entreprise spécialisée s'est occupée du toit et de l'installation des fenêtres, une autre de la pose des plaques de plâtre, de la peinture et de la moquette.
Au moment de poursuivre l'installation électrique de ce deuxième étage, nous avons découvert que l'existant d'origine au premier étage était en très mauvais état et présentait même des risques de départ de feu. Un seul fusible pour tout l'étage (prises et lumières), des fils enveloppés de tresse de coton, c'était le standard à l'époque ! Impossible de raccorder une extension sur un câblage aussi dégradé, une autre entreprise spécialisée a donc déposé l'ancienne installation et mis en place un circuit conforme aux normes actuelles, avec toutes les protections nécessaires.
L'installation électrique terminée, nous avons pu procéder à quelques finitions, dont le décapage de la vieille peinture sur l'escalier en bois avant la pose d'un nouveau garde-corps, réalisé par Stéfano Tulisso dans la continuité de la main courante existante.
Le nouvel étage comporte donc deux bureaux et une salle de réunion, ainsi que de quoi stocker les documents afférents, ce qui a libéré d'autres pièces au premier étage. Un prochain article présentera la suite des travaux en mairie.
18 juillet 2018
Aléas climatiques
Le début d'année 2018 aura été difficile pour nombre de Chaliférois. Le climat se montre bien désagréable et les dégâts sont significatifs.
A commencer par les inondations qui ont affecté les bords de Marne, suivies d'une période de froid avec neige et gel. Si plusieurs habitations ont été durement touchées, les dégâts structurels ont fort heureusement été limités à des dégradations de la voirie. Ce n'est pas étonnant vu son état de faiblesse générale. Suite à cela, une consultation a été lancée pour la réfection de cette voie, l'étude est en cours.
Faute d'expérience personnelle, nous avons été pris au dépourvu par ces événements et notre réponse a été compliquée par le manque de moyens. En effet, nous ne disposons pas de bateau pour ce genre de situation ni de véhicule capable de franchir les 47 cm d'eau relevés sur le chemin de Meaux le long du plateau sportif.
Soyons clairs, il y a tellement longtemps que la région n'avait pas été inondée que personne dans le service ne savait comment gérer une telle situation. Nous avons donc improvisé, sans l'expérience que certains riverains de longue date peuvent avoir.
Nous avons difficilement trouvé des tenues de protection, et dans les premiers temps, les interventions se sont faites sans.
Sur la photo, au fond, vous pouvez voir Paul, de l'eau à mi-cuisses, sans protection, en train d'installer une passerelle d'accès pour une habitation. Ioan trempé aussi, en teste la stabilité avant de l'élargir. Nous avons depuis les tenues adaptées à ce genre de situation.
Par ailleurs, il est difficile de disposer de matériels et matériaux en stock pour servir moins d'une fois tous les dix ans. Nous n'avons pas la place pour les ranger et il est peu probable qu'ils se conservent bien aussi longtemps. Difficile d'engager des dépenses dans du matériel qui risque fort de ne plus être en état de servir au moment voulu... En la matière, la prévention et l'équipement des riverains exposés restent la réponse la plus pertinente. Dans ces circonstances, l'entraide des habitants est essentielle et à été mise en œuvre avec une appréciable mise à disposition de barque. Bravo !
L'eau n'avait donc pas encore quitté le chemin de Meaux que la neige est venue s'ajouter à la difficulté. Sous la charge, certains arbres ont cédé et ont dû être évacués.
Ensuite, ce sont les orages et les fortes pluies qui ont cette fois touché tout le pays. Le chemin de Meaux a une fois de plus fait les frais de ces précipitations avec plusieurs débordements de la descente d'eaux pluviale de la station de pompage.
Une pollution de la marne aux hydrocarbures nous a conduits a rechercher pour les Pompiers et la police fluviale les réseaux d'évacuation des eaux. A cette occasion il apparaît que l'émissaire des eaux pluviales dans la Marne est d'un diamètre de 250mm alors que la descente de la ruelle Canet fait près du double.
Avec l'urbanisation croissante et malgré la mise en séparatif des égouts, la quantité d'eau de pluie dépasse maintenant la capacité de cette conduite et déborde donc en arrachant au passage des matériaux sur les chemins de terre.
Nous ne pouvons malheureusement que retirer ces dépôts de matériaux d'érosion, la solution ne dépend pas de nous. Ces débordements torrentiels sont très puissants et altèrent eux aussi la chaussée, ce qui ramène à la question de son renouvellement, c'est une affaire complexe qui requiert une étude élargie au-delà du seul chemin de Meaux. Même le renforcement de certains points sensibles est délicat, il ne faudrait justement pas empêcher de futurs travaux plus appropriés...
Il y a eu aussi quelques sévères coups de vent qui ont fait tomber quelques arbres qu'il a fallu dégager, d'autres devenant plutôt menaçants ont été abattus par précaution, chemin de Meaux, chemin de halage et route de Lesches.
Quand on nous dit que le réchauffement climatique nous touchera dans quelques années si rien ne change, on se dit parfois qu'il est déjà là et on peut vraiment craindre pour l'avenir si c'est le genre de saisons qui nous attendent...
A commencer par les inondations qui ont affecté les bords de Marne, suivies d'une période de froid avec neige et gel. Si plusieurs habitations ont été durement touchées, les dégâts structurels ont fort heureusement été limités à des dégradations de la voirie. Ce n'est pas étonnant vu son état de faiblesse générale. Suite à cela, une consultation a été lancée pour la réfection de cette voie, l'étude est en cours.
Faute d'expérience personnelle, nous avons été pris au dépourvu par ces événements et notre réponse a été compliquée par le manque de moyens. En effet, nous ne disposons pas de bateau pour ce genre de situation ni de véhicule capable de franchir les 47 cm d'eau relevés sur le chemin de Meaux le long du plateau sportif.
Soyons clairs, il y a tellement longtemps que la région n'avait pas été inondée que personne dans le service ne savait comment gérer une telle situation. Nous avons donc improvisé, sans l'expérience que certains riverains de longue date peuvent avoir.
Nous avons difficilement trouvé des tenues de protection, et dans les premiers temps, les interventions se sont faites sans.
Sur la photo, au fond, vous pouvez voir Paul, de l'eau à mi-cuisses, sans protection, en train d'installer une passerelle d'accès pour une habitation. Ioan trempé aussi, en teste la stabilité avant de l'élargir. Nous avons depuis les tenues adaptées à ce genre de situation.
Par ailleurs, il est difficile de disposer de matériels et matériaux en stock pour servir moins d'une fois tous les dix ans. Nous n'avons pas la place pour les ranger et il est peu probable qu'ils se conservent bien aussi longtemps. Difficile d'engager des dépenses dans du matériel qui risque fort de ne plus être en état de servir au moment voulu... En la matière, la prévention et l'équipement des riverains exposés restent la réponse la plus pertinente. Dans ces circonstances, l'entraide des habitants est essentielle et à été mise en œuvre avec une appréciable mise à disposition de barque. Bravo !
L'eau n'avait donc pas encore quitté le chemin de Meaux que la neige est venue s'ajouter à la difficulté. Sous la charge, certains arbres ont cédé et ont dû être évacués.
Ensuite, ce sont les orages et les fortes pluies qui ont cette fois touché tout le pays. Le chemin de Meaux a une fois de plus fait les frais de ces précipitations avec plusieurs débordements de la descente d'eaux pluviale de la station de pompage.
Une pollution de la marne aux hydrocarbures nous a conduits a rechercher pour les Pompiers et la police fluviale les réseaux d'évacuation des eaux. A cette occasion il apparaît que l'émissaire des eaux pluviales dans la Marne est d'un diamètre de 250mm alors que la descente de la ruelle Canet fait près du double.
Avec l'urbanisation croissante et malgré la mise en séparatif des égouts, la quantité d'eau de pluie dépasse maintenant la capacité de cette conduite et déborde donc en arrachant au passage des matériaux sur les chemins de terre.
Nous ne pouvons malheureusement que retirer ces dépôts de matériaux d'érosion, la solution ne dépend pas de nous. Ces débordements torrentiels sont très puissants et altèrent eux aussi la chaussée, ce qui ramène à la question de son renouvellement, c'est une affaire complexe qui requiert une étude élargie au-delà du seul chemin de Meaux. Même le renforcement de certains points sensibles est délicat, il ne faudrait justement pas empêcher de futurs travaux plus appropriés...
Il y a eu aussi quelques sévères coups de vent qui ont fait tomber quelques arbres qu'il a fallu dégager, d'autres devenant plutôt menaçants ont été abattus par précaution, chemin de Meaux, chemin de halage et route de Lesches.
Quand on nous dit que le réchauffement climatique nous touchera dans quelques années si rien ne change, on se dit parfois qu'il est déjà là et on peut vraiment craindre pour l'avenir si c'est le genre de saisons qui nous attendent...
09 juillet 2018
Nouveaux sanitaires au plateau sportif - partie 2
Cet article, prêt depuis longtemps, a été reporté en attendant que les travaux soient complétés. D'autres chantiers ayant été entamés depuis, les priorités ont changé. Le travail principal est donc terminé depuis plusieurs mois alors autant publier l'article maintenant, les finitions feront l'objet d'une publication ultérieure.
Les travaux préparatoires étant terminés, la livraison du bloc sanitaire a pu avoir lieu.
Il s'agit d'un module préfabriqué tout équipé, comportant deux WC et une douche. La mise en place a été assurée par un camion-grue qui l'a posé à l'emplacement prévu pour permettre le raccordement des évacuations. Quelques ajustements à la barre à mine ont quand-même été nécessaires pour un positionnement précis.
Ce raccordement n'est pas des plus simples car toutes les sorties ne sont pas à la même hauteur. Heureusement que les fournitures modernes proposent des raccordements souples !
Pour cacher ces tubes et raccords, un petit caisson technique est maçonné autour, il fait également office de protection contre le gel.
L'installation électrique d'origine ayant disparu avec l'ancien bâtiment, un nouveau tableau a été installé dans un coffret sur le poteau déplacé précédemment. Le gros câble aérien laissé en attente sur un autre poteau y est raccordé. Ce coffret protège donc le bloc sanitaire, le club-house du tennis et l'éclairage extérieur.
De nouvelles marches sont créées pour accéder à la plateforme en béton dont la périphérie a déjà été partiellement enduite.
Il reste donc quelques touches à apporter pour bien finir l'ensemble qui est cependant parfaitement opérationnel, après correction de quelques défauts détectés à la mise en service. En attendant, le module remplit parfaitement sa fonction pour le club de tennis et est mis à disposition du public lors d'événements tels que le forum des associations.
Les travaux préparatoires étant terminés, la livraison du bloc sanitaire a pu avoir lieu.
Il s'agit d'un module préfabriqué tout équipé, comportant deux WC et une douche. La mise en place a été assurée par un camion-grue qui l'a posé à l'emplacement prévu pour permettre le raccordement des évacuations. Quelques ajustements à la barre à mine ont quand-même été nécessaires pour un positionnement précis.
Ce raccordement n'est pas des plus simples car toutes les sorties ne sont pas à la même hauteur. Heureusement que les fournitures modernes proposent des raccordements souples !
Pour cacher ces tubes et raccords, un petit caisson technique est maçonné autour, il fait également office de protection contre le gel.
L'installation électrique d'origine ayant disparu avec l'ancien bâtiment, un nouveau tableau a été installé dans un coffret sur le poteau déplacé précédemment. Le gros câble aérien laissé en attente sur un autre poteau y est raccordé. Ce coffret protège donc le bloc sanitaire, le club-house du tennis et l'éclairage extérieur.
De nouvelles marches sont créées pour accéder à la plateforme en béton dont la périphérie a déjà été partiellement enduite.
Il reste donc quelques touches à apporter pour bien finir l'ensemble qui est cependant parfaitement opérationnel, après correction de quelques défauts détectés à la mise en service. En attendant, le module remplit parfaitement sa fonction pour le club de tennis et est mis à disposition du public lors d'événements tels que le forum des associations.
22 octobre 2017
En terrasse...
Les deux places de stationnement devant le café nature étaient un peu délicates d'accès et les barrières sur le rétrécissement étaient fréquemment cassées. Il a finalement été plus simple de supprimer ces places que d'apprendre aux gens à conduire et une terrasse les remplace désormais.
La construction est des plus classiques: périmètre en parpaings, remplissage en gravats compactés à la dame, puis dalle en béton. Les gravats proviennent de l'évacuation d'un dépôt sauvage.
Par dessus les gravats compactés, un film en plastique a été posé pour éviter que le béton s'infiltre et laisse des creux en surface. Un ferraillage assure la résistance du béton car la dalle est relativement de faible épaisseur.
Le béton a été préparé sur place, au plus près du chantier, le tout sur une matinée. Une règle, rallongée pour l'occasion a servi à répartir le béton uniformément et de niveau par rapport au coffrage. Les marches de l'escalier sont restées brutes jusqu'à ce que leur hauteur définitive soit déterminée d'après la hauteur du plancher à venir.
Les dernières barrières décoratives en stock ont été installées autour de la dalle pour éviter les chutes. Quelques sections ont été fabriquées par Stéfano Tulisso pour compléter cette protection.
Un plancher en bois habille le sol. Beaucoup de perçages et de découpes ont été nécessaires pour la fixation des lambourdes et s'accommoder du contour et des barrières.
La terrasse a été investie avant même d'être terminée !
La construction est des plus classiques: périmètre en parpaings, remplissage en gravats compactés à la dame, puis dalle en béton. Les gravats proviennent de l'évacuation d'un dépôt sauvage.
Par dessus les gravats compactés, un film en plastique a été posé pour éviter que le béton s'infiltre et laisse des creux en surface. Un ferraillage assure la résistance du béton car la dalle est relativement de faible épaisseur.
Le béton a été préparé sur place, au plus près du chantier, le tout sur une matinée. Une règle, rallongée pour l'occasion a servi à répartir le béton uniformément et de niveau par rapport au coffrage. Les marches de l'escalier sont restées brutes jusqu'à ce que leur hauteur définitive soit déterminée d'après la hauteur du plancher à venir.
Les dernières barrières décoratives en stock ont été installées autour de la dalle pour éviter les chutes. Quelques sections ont été fabriquées par Stéfano Tulisso pour compléter cette protection.
Un plancher en bois habille le sol. Beaucoup de perçages et de découpes ont été nécessaires pour la fixation des lambourdes et s'accommoder du contour et des barrières.
La terrasse a été investie avant même d'être terminée !
24 septembre 2017
Nouveaux sanitaires au plateau sportif - partie 1
Le désamiantage et la démolition des anciens vestiaires du terrain de foot ont enfin pu avoir lieu. L'emplacement sera réutilisé pour installer un bloc sanitaire préfabriqué.
Une entreprise spécialisée a procédé à la dépose et à l'évacuation de la couverture et des parois extérieures en fibro-ciment amianté, puis de tout le reste en tant que déchets de déconstruction classiques.
L'entreprise a donc laissé une dalle nue et irrégulière que nous avons entouré d'un coffrage pour y couler une chape d'égalisation après avoir rempli une partie du volume avec les gravats du chantier.
Pour raccorder le futur bloc sanitaire, des saignées ont été pratiquées dans le béton du sol, puis des tranchées creusées pour y passer tuyaux et câbles.
Les anciennes marches d'accès au bâtiment, devenues inutiles, ont été démolies aussi.
Le compteur électrique ayant été déplacé en limite de terrain, il a fallu déplacer le poteau soutenant le câble qui alimente le club-house du tennis et l'éclairage extérieur.
A suivre...
Une entreprise spécialisée a procédé à la dépose et à l'évacuation de la couverture et des parois extérieures en fibro-ciment amianté, puis de tout le reste en tant que déchets de déconstruction classiques.
L'entreprise a donc laissé une dalle nue et irrégulière que nous avons entouré d'un coffrage pour y couler une chape d'égalisation après avoir rempli une partie du volume avec les gravats du chantier.
Pour raccorder le futur bloc sanitaire, des saignées ont été pratiquées dans le béton du sol, puis des tranchées creusées pour y passer tuyaux et câbles.
Les anciennes marches d'accès au bâtiment, devenues inutiles, ont été démolies aussi.
Le compteur électrique ayant été déplacé en limite de terrain, il a fallu déplacer le poteau soutenant le câble qui alimente le club-house du tennis et l'éclairage extérieur.
A suivre...
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