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12 mars 2011

Les trous dans les routes (suite)

En complément de l'article précédent, voici quelques schémas illustrant la dynamique de destruction des revêtements routiers.
Les proportions ne sont pas respectées et certains détails sont exagérés pour la clarté de l'explication. Cliquez sur les images pour les agrandir.

Les roues exercent une force sur le sol, lequel voit l'effort diminuer presque aussi vite qu'il est apparu. Il est évident qu'un véhicule en surcharge applique une charge localisée plus importante que prévue. De même, l'importance du trafic joue un rôle important dans la quantité d'efforts subis par la chaussée.
L'humidité révèle les fissurations et la perte d'étanchéité.
Sous l'effet de ces charges répétitives, mais aussi des cycles saisonniers, des dilatations et déformations provoquent des fissurations qui permettent l'infiltration d'eau. Les couches inférieures sont alors drainées et le sous-sol ainsi décompacté ne retient plus suffisamment la couche d'enrobé, le trou se forme. A chaque passage de roue, un peu plus de matériau est enlevé.
 Le passage des roues ne fait pas que creuser, il élargit également le trou à force d'appuyer sur le bord en tombant dans le trou puis en butant sur l'autre bord en sortant.



Un trou rebouché à l'enrobé à froid sans réelle préparation (bords francs) aura tendance à se reformer car l'enrobé restant relativement mou, il sera déplacé par les efforts des roues avec un effet de rouleau à pâtisserie.
Un autre type d'altération se produit en bordure des routes dont l'accôtement ne présente pas de bordure en béton. Les forces ont plus de place pour s'exercer vers le sol le plus faible et l'enrobé suit en cas d'affaissement.
Ce ne sont là que quelques exemples typiques, il existe d'autres facteurs pouvant causer des dégâts aux revêtements routiers. Et ces problèmes s'appliquent à des routes construites dans les règles de l'art, alors imaginez ce que peuvent subir les chaussées chaliféroises qui n'ont pas les caractéristiques requises et pour lesquelles les réparations de fortunes ne sont que plâtre sur jambe de bois...


06 mars 2011

Les trous dans les routes...

En voilà un sujet qui fait parler !
L'état des voieries de Chalifert est sujet à de nombreuses réclamations. Légitimes pour la plupart, on ne peut que regretter leur formulation trop souvent agressive: contrairement à ce que certains insinuent, ou déclarent même publiquement, il n'y a aucune mauvaise volonté de notre part en ce qui concerne le rebouchage des trous mais bien des difficultés techniques.


Car une route, une rue, un chemin sont des sujets bien plus pointus qu'il n'y paraît et qui ne tolèrent pas l'improvisation. En effet, pour supporter les contraintes auxquelles ils sont exposés, ces passages requièrent une préparation méthodique précise et adaptée à la circulation. Et c'est justement ce qui manque à Chalifert. Nos rues principales ne sont que des routes départementales prévues pour un trafic modéré tant en volume qu'en charge. Or, le développement économique et l'urbanisation des communes voisines ont attiré certes des services et des emplois, mais également une fréquentation routière très supérieure à la capacité des voieries. Ces dernières s'usent et subissent les effets du climat.

La topographie de Chalifert n'est pas favorable à la conservation des voieries: terrains en pente, présence de sources, dévers, proximité de terres agricoles, etc sont autant de difficultés qui sont agravées, en ce qui concernes les autres rues, par l'absence totale de préparation spécifique et une épaisseur de revêtement insignifiante. Deux centimètres d'enrobé sur un lit de gravier suffisaient peut-être il y a trente ans mais la situation a bien changé depuis. De nombreuses maisons se sont construites, avec pour conséquence une plus grande fréquentation. De nombreux Chaliférois circulent avec de gros véhicules (4x4, utilitaires), les poubelles sont ramassées par des camions, la direction assistée permet aux conducteurs de tourner leurs roues sur place... Nos pauvres chemins ne sont plus en état de le supporter.

Lorsque les conditions sont réunies (température positive, temps sec, matériaux et matériels disponibles), nous procédons à des réparations ponctuelles. Nous appliquons un enrobé à froid dans les trous préalablement nettoyés, et que l'on compacte avec une plaque vibrante.
Pour que ces réparations tiennent, il faut que le trou soit assez profond pour que l'épaisseur d'enrobé soit suffisante. La difficulté est de déposer la bonne quantité pour éviter une cuvette ou une bosse.

Lorsque que vous voyez que nous avons rebouché des trous avec de l'enrobé à froid, essayez d'éviter de rouler dessus pendant quelques temps, et surtout de manoeuvrer dessus. En effet, l'enrobé à froid reste mou même s'il est compacté et les roues de voiture peuvent l'arracher facilement.

Vous aurez remarqué que plusieurs portions de la rue Pasteur, ainsi que de son prolongement sur Chessy jusqu'au rond-poind de la RD934 ont été entièrement refaites. Ces reprises sont le fait de l'ART (anciennement DDE), qui a fait appel à une société privée spécialisée en travaux routiers.
La photo ci-dessus montre que le matériel nécessaire à ce genre d'opération est sans commune mesure avec nos petites réparations. En comptant les agent de l'ART, ceux de l'entreprise de voierie et les conducteurs de camions, cette réfection a mobilisé une bonne vingtaine de personnes sur deux jours, rien que pour la partie chaliféroise du chantier, auxquelles il faut ajouter tout le matériel spécialisé, comme cette raboteuse qui enlève la couche supérieure usée.

L'état des voies communales les plus dégradées nécessiterait encore plus de matériel et de travaux préparatoires pour un résultat satisfaisant, cela dépasse de très loin nos capacités. Une telle intervention n'est donc pas du ressort du service technique et se joue à un autre niveau...

23 janvier 2011

Défaut d'éclairage public

Il y avait longtemps qu'on le cherchait, on a enfin trouvé le défaut qui coupait régulièrement l'éclairage public à l'intersection rue Charles Vaillant/route de Lesches.
Le câble d'alimentation a subi un frottement contre un arbre en domaine privé et un court-circuit de produisait entre les conducteurs mis à nu. L'inspection visuelle, l'élagage et débrousaillage route de Lesches n'avaient pas révélé de défaut, il se trouvait sur une partie non traitée, la seule en fait...

La neige nous a aidé !
Pour tout dire, l'arbre fautif a été taillé et semblait bien innocent, mais le mal était fait et les jours de pluie la protection sautait dans le coffret d'alimentation sans laisser de trace.
Cet hiver, il en a été autrement: la neige se déposant sur le câble dénudé n'a pas fait disjoncter la sécurité immédiatement et un arc électrique s'est produit, faisant fondre les conducteurs en aluminium, pourtant d'assez gros diamètre.



Les câbles étant tombés à terre sur des propriétés privées et sur un portail métallique, nous les avons enroulés hors de porté de main.
Il n'en reste pas moins qu'il subsite un danger réel car certaines installations anciennes peuvent ne pas être protégées correctement et rester alimentées malgré la coupure au coffret. C'est donc une très mauvaise idée que d'essayer de récupérer un peu de métal au risque de sa vie !

Un électricien agréé a remplacé la portion de câble abîmée et l'éclairage est désormais opérationnel. Aucun déclenchement intempestif de la sécurité n'a été constaté depuis.

Il reste cependant un défaut au niveau du lampadaire du passage piéton au-dessus de l'intersection, celui-ci a été percuté par un véhicule  et la déformation du boîtier nous empêche de l'ouvrir sans casse. Le problème est donc connu et sera solutionné prochainement.

18 décembre 2010

Début de saison difficile

L'hiver n'est pas encore là et pourtant, le froid et la neige ne manquent pas ! L'occasion de faire le point sur les opérations de sécurisation des voies publiques.

Le service technique de Chalifert assure pour toute la période hivernale une surveillance de la météo et a mis en place des personnels d'astreinte pour intervenir en cas de besoin. Si les interventions de jour ont lieu normalement, il peut être nécessaire d'agir aussi la nuit.
La plupart du termps, les interventions de nuit ont lieu tôt le matin et de sorte que les routes soient praticables pour les "heures de pointe". Il peut cependant arriver que la quantité de neige dépasse la capacité de traitement du sel et la neige restante, compactée par les roues des voitures ou les chaussures des piétons se transforme en glace.
Ci-dessus, la rue Charles Vaillant depuis le carrefour /pasteur/Braille/J. de la Fontaine. Le reflet des éclairages ne vient pas d'un sol mouillé mais bien d'une couche de glace terriblement glissante. Cette glace est transparente et laisse voir les marquages du sol, laissant croire à une chaussée mouillée. Rien n'est plus traître et la plus grande prudence s'impose.

Lors de nos sorties pour le salage des routes, nous devons tenir compte de certaines priorités, notamment en fonction du danger couru à certains endroits.
Le parcours type est le suivant:
  1. Rue Charles vaillant
  2. Route de Lesches
  3. Allée saint Eloi
  4. Rue Braille
  5. Rue Pasteur
  6. Rue du Pré Fontaine
  7. Rue des Coulommières
  8. Allée Jean de la Fontaine
  9. Allée Saint Jacques
  10. Ruelle Guillemette
  11. Ruelle Canet
  12. Allée des Grands Jardins
  13. Route de Jablines
  14. Route de Coupvray
Selon les conditions du jour, nous pouvons être amenés à suivre un parcours différent, ce dernier n'étant de toute façon aucunement figé. Le traitement nécessite deux véhicules, le camion transporte le sel et le tracteur le saupoudre avec la saleuse. Sur les grands axes, la saleuse est directement attelée au camion. Le tracteur permet de traiter des zones où le camion ne pourrait pas manoeuvrer.
Notre équipement est flexible mais nécessite de fréquents rechargements, le traitement se fait à allure réduite, généralement à moins de 20km/h.

Certains endroits ne sont pas cités mains sont traités, d'auntres le sont uniquement lorsque notre stock de sel nous le permet.
En cas de difficulté d'approvisionnement, situation malheureusement de plus en plus fréquente, nous devons réserver le salage aux zones où l'on ne peut pas s'en passer, soit les routes en pente et certains virages. La route de Lesches est souvent fermée (déviation par la route de Jablines), le chemin de la haillette est fermé en permanence et n'est pas traité.

Ci-dessous, quelques photos de chalifert la semaine dernière:
Le bas de la route de Lesches, direction Chalifert 

Le haut de la route de Lesches, à hauteur des premières habitations, après salage ! 

Le chemin de Meaux.

Lorsque la neige a commencé à tomber, elle a tenu immédiatement sur le sol gelé, la quantité et la circulation ont fait le reste. Un Bus Pep's s'est mis en travers de l'intersection route de Lesches/rue Charles Vaillant, de même qu'un gros taxi, bloquant ensuite une dizaine de voitures. Le déblocage de ces véhicules a retardé le traitement des autres rues et nos véhicules de traitement ont eux-mêmes été en difficulté par endroits.

Lorsque la météo annonce des chutes de neige importantes, essayez autant que possible de ne pas sortir, les difficultés et le risque d'accident sont très élevés. De nombreuses personnes ont dû abandonner leur véhicule sur le bord de la route pour rentrer à pied !

04 décembre 2010

Place du Colombier

Un message qui avait été malencontreusement placé en attente de publication et oublié...

Eté 2009, la place devant la bibliothèque a été aménagée en parking et en zone d'attente pour l'accès à l'école primaire.


Les places de stationnement ont été matérialisées avec des pavés anciens provenant des bâtiments de ferme qui se trouvaient là.
Parallèlement aux travaux de la place, la cour de l'école a été agrandie et l'entrée déplacée de l'ancien accès de bibliothèque vers le nouveau, sur la place. Les ajouts sur la cour sont en béton teinté en surface par un spécialiste à la même couleur que l'existant.
Sur la place, nous avons installé des bancs pour les familles qui attendent des enfants à la sortie de l'école, ainsi que des jardinières pour des plantations d'agrément.

Un chemin a été aménagé entre la place du colombier et l'accès à l'école maternelle, protégé de la circulation de l'allée Jean de la Fontaine par le mur longeant la bibliothèque et l'ancien accès de l'école. La circulation sur l'allée J. de la fontaine a pu être remise en double sens et le passage des piétons est entièrement sécurisé.

Le muret côté butte de terre a été consolidé et des plantations ont pris place pour embellir les lieux. D'autres aménagements sont à l'étude pour compléter le remaniement de l'îlot.

05 septembre 2010

La pluie, décidément !

Il n'y a pas que le château qui a subi les effets de la pluie abondante cet été. Les routes ont également eu leur lot d'excès.

Par exemple, au niveau de la zone surélevée rue charles Vaillant, il s'était formé une rétention d'eau qui pouvait provoquer de l'aquaplanage pour les véhicules. Nous avons creusé une rigole d'écoulement pour évacuer cette eau.
Sur la photo, une bonne partie de l'eau est déjà évacuée. avant l'intervention, elle traversait la route !


Le même genre de phénomène se produit à différents endroits du chemin de Meaux. Nous avons là aussi creusé des rigoles d'évacuation, quand c'était possible. Malheureusement, la configuration de la route, parfois inclinée dans le mauvais sens, parfois en cuvette, ne nous permet pas de traiter toute la route. La prudence reste donc de mise, par temps de pluie ou non.

25 février 2010

Fermeture du chemin de la Haillette

Depuis lundi 21 février, le chemin de la Haillette est fermé à toute circulation entre la rue Charles Vaillant et le chemin du Mur au Prieur.

Cette décision a fait l'objet d'un arrêté municipal en raison de l'importante dégradation dûe aux passages répétés d'engins trop lourds alors que cette voie est limitée aux véhicules de moins de 3,5 tonnes. Il ne s'agit que d'un chemin et son revêtement n'est pas adapté à une circulation intense, sa faible largeur ne permet que difficilement à deux véhicules de s'y croiser, et encore, en empiétant sur l'accotement...

Malgré des travaux de préservation à l'automne, de nouveaux trous sont apparus avec les agressions climatiques ajoutés aux surcharges.

Les photos ci-dessous montrent à quel point certaines portions de ce chemin sont devenues impraticables.


Des barrières ont donc été placées de sorte à laisser l'accès aux riverains, une signalisation indiquant clairement le passage interdit.

Malgré cela, les barrières ont été déplacées plusieurs fois par des indélicats qui continuent à dégrader la chaussée, nous obligeant donc à enchaîner les barrières !


Nous vous tiendrons informés de l'évolution de ce sujet dès que nous aurons connaissance d'une décision.
En attendant, la circulation est reportée sur la rue Charles Vaillant qui, malgré sa limitation de vitesse, ne demande pas plus de temps pour arriver au même point de débouché rue Louis Braille.

14 février 2010

Visibilité



Vous ne voyez rien de spécial sur cette photo ?

C'est normal !

En ce début Février, nous avons retiré le poteau métallique qui portait les plaques de rues à l'intersection allée Renoir/route de Jablines. Les plaques sont maintenant sur le poteau en béton, ce qui dégage la vue pour les automobilistes qui sortent de l'allée Renoir.
Face à la vitesse élevée sur la route de Jablines, il était parfois délicat de repérer les véhicules en approche.
La haie à ce même endroit a été rabattue pour contribuer aussi à cette amélioration de la visibilité.

La dangerosité de ce secteur n'est pas virtuelle, en témoigne l'accident de ces derniers jours ayant détruit la clôture d'un riverain de cette intersection. Le véhicule en cause, abandonné sur place par son ou ses occupants, a été pulvérisé et des débris ont été ramassés sur plusieurs dizaines de mètres, la batterie étant retrouvée au milieu du champ en face...

Donc, même si la visibilité est meilleure, restez prudents !

17 janvier 2010

Déneigement, salage

Cet hiver se veut particulièrement actif en termes de chutes de neige et de verglas, et ce n'est pas fini !
Nous disposons désormais d'une remorque d'épandage de sel qui nous permet de traiter les chaussées avec plus de facilité. En effet, l'engin peut être attelé au camion-benne ou à un de nos tracteurs.




4h15 du matin: départ du tracteur, suivi par le camion en ravitailleur. A l'heure de pointe du matin, les routes seront prêtes.


Le tracteur permet de traiter des secteurs inaccessibles au camion grâce à sa maniabilité et à ses 4 roues motrices. Le conducteur est bien courageux car il est exposé au froid et à l'humidité pendant plusieurs heures !
En effet, le camion ne peut accéder et faire demi-tour dans certaines voies sans-issue ou trop en pente avec une aussi petite remorque et le plein chargement de sel ( environ 1,2 t ) sur un sol glissant. Par contre, il travaille plus rapidement sur les voies de plus grande circulation.

Quelques infos:
- Le sel abaisse la température de congélation de l'eau mais il faut pour cela que ces deux éléments soient mélangés. Sur neige ou verglas, ce mélange ne peut s'effectuer rapidement que par la circulation. Il est donc plus prudent d'attendre le traitement des chaussées pour prendre le volant et de garder à l'esprit que même derrière la saleuse la route reste glissante et qu'il convient de limiter sa vitesse, de garder de bonnes distances de sécurité, d'anticiper les freinages et d'éviter les manoeuvres brusques.
- Nous vous rappelons l'obligation pour chacun de déneiger le trottoir devant sa propriété. Le nombre de Chaliférois ayant déblayés devant chez eux se compte sur les doigts d'une seule main ! Astuce: pas besoin de grosse pelle à neige, un simple balai à poils raides suffit.
- Les agents techniques ne peuvent pas donner ou vendre de sel aux particuliers pour le traitement de voies privées. Il serait en effet injuste que la collectivité paie pour le profit de quelques uns. Il est donc inutile d'insulter les agents qui ont l'obligation de refuser ce type de demandes.

La route de Lesches se veut particulièrement dangereuse par temps de neige.

Vous avez peut-être pu constater sa fermeture temporaire, demandée par l'ART ( anciennement DDE ) qui est responsable du traitement des routes à statut départemental, dont rues Braille, Pasteur, Vaillant. Le service technique de Chalifert applique systématiquement du sel sur les zones les plus dangereuses, ce qui explique que la route de Lesches ait pu paraître dégagée depuis l'intersection avec la route de Jablines.

Ce traitement est destiné à permettre l'accès aux riverains mais il a été constaté que les barrières étaient franchies par des automobilistes se rendant à Lesches. C'est à leurs risques et périls car la fermeture a fait l'objet d'un arrêté municipal. Notre plus grand regret est l'indiscipline de ceux qui n'ont pas remis les barrières en place après leur passage, laissant croire aux suivant que la route était libre. Ce comportement met en danger les conducteurs qui s'engagent au delà des zones salées.

Nous avons vécu une vilaine glissade sur cette route avec le camion chargé de sel lors de notre première sortie de la saison. On a bien cru qu'on allait verser dans le ravin et tomber dans le canal après quelques tonneaux. Il y a déjà eu un accident grave par ce temps l'année dernière, le caractère dangereux du secteur est donc avéré. Il est beaucoup plus sûr en cas de fermeture de contourner par la route de Jablines dont la descente est plus douce et surtout sans virages dangereux.


Petite astuce pour ceux qui ne peuvent pas sortir leur voiture de la rampe du garage: Tamisez et saupoudrez de la cendre de bois ( cheminée, barbecue... ) effet immédiat ! Utiliser avec modération, c'est très salissant et corrosif comme le sel...


Finissons par une note d'humour de saison:

Passage piéton


Je vous ai à l'oeil !





Jean-Claude assure la sécurité du passage piéton de l'intersection Charles Vaillant/Louis Braille aux heures d'entrée et de sortie d'école.

Qu'il fasse chaud, qu'il pleuve ou qu'il neige, il fait obstacle aux véhicules empruntant cet axe très fréquenté.

Aux automobilistes: Ce n'est pas pour le plaisir que l'on vous barre ainsi la route. La visibilité à cette intersection est très mauvaise et l'agent vous signale donc l'arrivée des piéton. N'oubliez pas que les enfants et/ou leurs parents n'ont pas de visibilité non plus quand ils abordent le croisement. Avouez que c'est un moindre inconvénient par rapport à un feu rouge ou pire, à un accident corporel !

Rappel:
A cette intersection, il y a un stop au débouché de la rue Charles vaillant et de la rue Pasteur pour faire baisser la vitesse moyenne des automobilistes en centre ville. Malgré cela, on constate toujours de nombreux non-respects de la signalisation et des incivilités n'ayant pas pour excuse le manque de visibilité. Que vous soyez piéton ou conducteur, restez toujours vigilants en abordant ce carrefour.