Affichage des articles dont le libellé est Equipement. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Equipement. Afficher tous les articles

31 mai 2015

Nouvelle lumière

Chalifert se met à l'éclairage public moderne, les LED commencent à remplacer les lampes à décharge.

La récente campagne de travaux en hauteur sur nacelle a été l'occasion habituelle de remplacer des ampoules d'éclairage public, mais également de procéder à l'échange de luminaires complets. Cette fois, la technologie change radicalement; les traditionnelles ampoules à vapeur de mercure ou de sodium laissent la place aux célèbres diodes électro-luminescentes (LED).

Outre des économies d'énergie significatives, cette technologie offre une plus grande durée de vie des sources de lumière, ce qui demande bien moins de maintenance et de coûts induits (fréquence d'intervention, pièces de rechange, retraitement des déchets).

 Seuls 6 luminaires ont pour l'instant été passés à la technologie LED, le remplacement sera progressivement étendu au reste de la commune. La priorité est donné aux luminaires qui ont tendance à user les ampoules trop rapidement, ainsi qu'à ceux dont les ampoules deviennent difficiles à trouver car très anciens.

A noter que cette démarche a été initiée spontanément, sans être forcée par un agenda 21 ou un quelconque chantage à la subvention. Cela peut être considéré comme une fierté !


11 décembre 2014

Ces tags qu'on ne veut plus voir

Chalifert a comme toutes les communes avoisinantes été victime à plusieurs reprises de dégradations volontaires à la peinture, aussi bien sur le mobilier urbain que sur les propriétés privées.

Pendant longtemps, nous avons essayé autant que possible d'effacer les tags sur le mobilier urbain, quand cela était techniquement possible, avec un solvant spécial. Malheureusement, cette technique n'est pas applicable en toutes circonstances. Par ailleurs, il est délicat d'employer ce genre de produits sur des surfaces peintes qui risquent alors une dégradation plus terrible que le tag lui-même (étalement, coulures).

Nous avons récemment essayé un dispositif de sablage adapté au nettoyeur haute pression qui nous permet de retirer par abrasion la peinture qui résiste au solvant. Le résultat est un retrait quasi-total de la peinture mais le message insultant est retiré et le support peut éventuellement être repeint plus facilement sans apparition d'un spectre par transparence.


Les tags sur propriétés privées donnant sur la voie publique sont éventuellement traités au cas par cas. Notre rôle se bornant à effacer au mieux le tag, le propriétaire gardant la charge de refaire la peinture si besoin.

Cette technique n'est pas non plus utilisable en toutes circonstances et un essai préalable doit être effectué pour éviter de causer plus de dégâts que les tags.

Pour l'abribus devant le château, les dégâts étaient tels qu'il a fallu le décaper et refaire la lasure !

A savoir qu'il existe des traitements préventifs, malheureusement coûteux, sur lesquels les peintures, affiches et adhésifs ne tiennent pas et grâce auxquels un nettoyage simple suffit à retirer totalement les affronts graphiques sans dégradation. Nous n'en sommes pas à envisager cette voie mais certains propriétaires de cibles faciles pourraient gagner à la mettre en œuvre pour ne pas avoir à repeindre trop souvent par dessus...

09 décembre 2014

Des chalets pour le marché de Noël

Pour le premier marché de Noël sur la place du Colombier, il nous a été demandé de construire des décors pour les stands exposants. Ces décors prendront la forme de petits chalets démontables qui habilleront les tables mises à disposition des commerçants.

Ayant à peine terminé les chevalets de peinture, Alain a donc été missionné pour concevoir et réaliser ces décors. Au nombre de quinze, ils représentent une quantité impressionnante de panneaux qu'il a fallu débiter et équiper d'éléments spéciaux pour l'assemblage.

 La construction n'avait rien de spécialement compliqué mais elle a nécessité beaucoup de ponçage pour éliminer les échardes.
 Un montage "à blanc" a permis de vérifier le concept avant la production en série. Quelques erreurs corrigées plus tard et la production terminée, tous les chalets ont été montés un à un et les pièces numérotées. Des clips en plastique permettent un montage et démontage faciles et rapide, la manutention est cependant très lourde au bout de 15 ensembles !

Des attaches spéciales ont été confectionnées pour permettre l'accrochage de guirlandes lumineuses sur les façades. Un faisceau électrique spécial a été confectionné pour permettre l'éclairage des tables d'exposition.
Les panneaux sont bruts de bois, il n'est pas encore déterminé s'ils recevront un décor d'ici une prochaine édition du marché.

08 décembre 2014

Nouvelles illuminations

La place du Colombier, et en particulier sa halle, a reçu cette année de nouvelles illuminations de fin d'année.

Tout d'abord des guirlandes à LED blanches tout autour de la halle/préau de l'école, mais également des grosses boules en structure filaire, à LED blanches également, suspendues sous la halle, et qui ne sont visibles que sous certains angles. Ne vous contentez pas de regarder de loin, c'est vraiment plus sympa de près !

Ces décorations sont amovibles, bien sûr, mais alimentées par une installation électrique discrète qu'il n'y aura qu'à rebrancher chaque année pour la mise en service. L'allumage et l'extinction sont assurés automatiquement par un programmateur. Même avec des guirlandes basse consommation, un programmateur permet de limiter la consommation inutile...


20 novembre 2014

Un grand chevalet pour petits peintres

Parmi les activités extra-scolaires mises en place cette année, les arts plastiques et en particulier dessin et peinture. Pour cela, il nous a été demandé de construire un chevalet collectif pour que les artistes en devenir travaillent dans de bonnes conditions.

C'est bien sûr notre menuisier Alain qui a conçu, réalisé et installé ce meuble dans un coin du centre de loisirs. Le concept de base est un plan incliné similaire aux chevalets de peintres mais posté à demeure et très large pour y travailler à plusieurs. La photo ci-dessous ne montre que la moitié de la longueur.
Structure porteuse du plan de travail
 La zone de travail, pour être à la hauteur des jeunes artistes, est posée sur un caisson qui fait office de rangement des fournitures et de support pour les gobelets de couleurs.
Préparation du caisson-support
 Le plan de travail proprement dit a été taillé dans des anciens tableaux d'école. Comportant une feuille métallique, ils permettent de fixer rapidement le papier à dessin avec des aimants et il reste possible de travailler à la craie.
Mise en place et réglage
Voilà donc de quoi permettre aux enfants de développer leurs talents graphiques, le format du papier n'étant pas limité par celui des tables d'école.


14 septembre 2014

Un tracteur plus gros

Vous avez peut-être remarqué que nous avions depuis quelques mois un nouveau tracteur, plus gros que les deux autres. Les troubles climatiques ont fait que nous avons peu eu l'occasion de nous en servir et de vous le présenter.

Il a en effet été acheté pour l'hiver 2013/2014, avec une lame à neige pour dégager les routes. Mais il n'a pas neigé cet hiver et l'équipement n'a pas servi. Étonnante coïncidence, le même phénomène s'était produit avec notre première lame de déneigement...
Pour cet été, une tonne à eau a été achetée pour remplacer notre système d'arrosage à base de cuve dans le camion. Cela nous obligeait à énormément de manutention et la configuration actuelle, même avec les problèmes techniques qu'elle présente, est nettement meilleure. Encore une fois, le climat nous a joué des tours et la pluie fréquente a fortement diminué le besoin en arrosage.

Le tracteur en lui-même:
D'un gabarit supérieur aux deux autres, il permet des opération nécessitant plus de puissance. La tonne à eau est par exemple d'une capacité de 1200 litres, soit 1,4 tonnes à remonter dans les côtes !
Très heureux progrès, il est équipé d'une cabine climatisée. La conduite des petits tracteurs sous la pluie est très désagréable, elle devient extrêmement pénible en période hivernale. Avec cet engin, les opérations de déneigement devraient être bien plus faciles grâce à la protection qu'offre cette cabine.
La conduite n'est est pourtant pas spécialement plus facile et le gabarit et la puissance imposent d'être titulaire du permis de conduire. S'il manœuvre très bien, il est aussi très sensible aux défauts de la route et il faut vraiment bien le tenir, d'autant plus qu'on est très secoué dedans car il n'y a pas de suspensions !

Autre événement ayant influé sur l'utilisation, le tarissement de la source alimentant le lavoir de la ruelle Canet. Ce lavoir ne se remplit plus que par les précipitations qui s'écoulent par les toitures, ce qui ne suffit plus pour assurer notre consommation. Nous sommes obligés d'aller pomper dans le canal de Chalifert, à la sortie du tunnel entre les deux écluses, côté Ermitage. Espérons que la source retrouvera son cours: l'arrosage, ce n'est pas seulement irriguer les plantations des jardinières et suspensions, c'est aussi remplir les cuves des jardins partagés, soit plusieurs mètres cubes les jours les plus chauds. Aller chercher l'eau au canal plutôt qu'au lavoir prend beaucoup plus de temps.
Pour beaucoup, les conséquences du réchauffement climatique sont floues et lointaines, les signes concrets sont pourtant bien là...


07 mai 2014

L'escalade revient à l'école

 Les travaux dans la cour de l'école, ayant vu le déplacement de l'entrée dans le bâtiment avec le création d'un escalier extérieur, ont généré un recoin entre cet escalier et l'abri en bois.

Ce recoin compliquait fortement la surveillance des enfants, déjà rendue difficile par la configuration en L de la cour et il a été décidé de supprimer cet angle mort en remplaçant l'abri en bois par un auvent adossé au mur et clôturé.
Nous avons donc dû détruire l'abri en bois pour laisser la place à l'auvent construit par une entreprise.
 Cet auvent terminé, nous y avons ramené les murs d'escalade qui se trouvaient sous l'ancien préau puis posé un grillage et un portillon d'accès fermant à clé.
La pose des murs d'escalade a nécessité la confection d'un rail support spécial et d'une base maçonnée pour compenser la pente du sol.

Les tapis de sécurité ont retrouvé leur place contre les murs et des protection en mousse ont été ajoutées sur les poutres moyennant là aussi quelques modifications.

Ces murs ont ensuite été rejoints par les vélos, trottinettes et autres jeux précédemment stockés dans la cour de la bibliothèque quand c'était encore l'école maternelle. Le groupe scolaire voit donc son transfert complet avec cette dernière opération.



25 mars 2014

Mise en lumière

Depuis qu'elle n'est plus loué pour les fêtes privées à causes des nuisances que cela engendrait, la salle polyvalente Claude Perryer sert surtout pour les activités sportives et éducatives de l'école ou de clubs et associations ainsi que pour les spectacles de fin d'années de l'école ou du centre de loisirs.

Cette salle a cependant un potentiel extensible aux événements culturels, du fait de ses équipements de projection audio-visuelle notamment. Malgré l'essai peu concluant de ciné-club, la capacité de la salle à accueillir des présentations d'artistes a été confirmée par l'installation d'un système d'éclairage mettant en valeur les œuvres exposées. Cet éclairage complète les cimaises murales et les grilles mobiles et se présente sous la forme de rails très discrets fixés au faux-plafond. Les luminaires s'y fixent à volonté aux endroits voulus et peuvent être orientés vers les murs ou les grilles.
Passage des câbles d'alimentation dans le faux-plafond
 Le système employé comporte d'énormes transformateurs qu'il n'était pas imaginable de laisser apparents. Une modification des connecteurs entre rails et alimentation a permis une discrétion du montage très satisfaisante et ne compromettant pas la sécurité.
Modification de la connectique
 La capacité du système est actuellement de 49 points lumineux répartis sur 36 mètres linéaires de support (mur + grilles). L'installation électrique a été prévue avec une marge confortable permettant une extension de deux files de rails supplémentaires pouvant porter la capacité théorique à 77 points lumineux sur 60 mètres linéaires moyennant des grilles supplémentaires. Une variante sur le type de luminaire pourrait encore modifier cette capacité.
Premiers essais, il n'y a pas encore tous les luminaires.
La première exposition de peintures et sculptures a validé sans problème ce nouvel éclairage et augure de prochaines manifestations dans cette salle qui offre tout ce qu'il faut pour devenir un lieu attractif pour les artistes et les visiteurs...

01 septembre 2013

Mobilier de loisir

Les aires de loisir continuent à recevoir quelques équipements pour les compléter.

Le parc du château a ainsi vu arriver une table de ping-pong et deux tables de pique-nique en béton, en remplacement de matériels inadaptés, ou disparus.
Il s'agit de mobilier particulièrement lourd et résistant dont le scellement ne permet plus le déplacement, on évitera ainsi le vol. Ce mobilier est à usage exclusif du centre de loisirs.

Accessible à tous publics, une autre table de ping-pong a été installée derrière le city-stade. Elle a immédiatement été adoptée !

A proximité immédiate, une plateforme en bois a été construite par une entreprise spécialisée sur le bord de Marne. Nous avonc défriché la zone et installé des potelets en protection des véhicules. Cette plateforme a reçu un habillage métallique par le ferronnier d'art Stéfano Tulisso.

Les bancs, quant à eux, ont été réalisés par un artisan clandestin ;-) amateur du travail du bois, et accessoirement Maire de la commune: M. Laurent Simon, surpris en pleine fabrication.


02 juin 2013

On change de camion

Notre camion benne Boxer arrivant en fin de période de location, se posait la question de le conserver ou de le remplacer. Diverses considérations ont conduit à son remplacement par un modèle plus petit.


Une nouvelle mission: le remplissage des réserves d'eau des jardins partagés.
Si ses dimensions réduites nous obligent à modifier nos habitudes d'utilisation, elles nous offrent un meilleur confort de circulation dans les rues bien étroites de Chalifert. L'ancien camion avait une largeur telle qu'il était difficile de croiser certains véhicules sans se toucher.
Plus petit, sa capacité en volume baisse et nous obligera à plus de tours pour les ramassages volumineux (déchets verts, encombrants), mais en contrepartie, la charge admissible est bien plus élevée et facile à gérer. Sa plus petite taille le rend également moins gênant lorsque nous travaillons dans les rues, ce qui est profitable à tous.

La configuration reste la même, un plateau benne nous permettant de répondre à la diversité de toutes les missions qui nous sont confiées.

30 janvier 2013

C'est joli, la neige, mais...

 
 
Les hivers se suivent et ne se ressemblent pas...
En effet, si l'année dernière a été plutôt clémente côté chutes de neige, cet hiver nous en donne nettement plus. Nous avons heureusement amélioré nos capacités de traitement par l'achat d'une lame d'étrave pour tracteur, communément appelée "chasse-neige". Cet équipement était déjà disponible l'hiver dernier mais nous n'avions pas eu l'occasion de nous en servir.
Vous aurez peut-être l'occasion de voir un curieux accessoire à l'arrière de notre camion, il s'agit en fait d'un dispositif d'aide au chargement du sel dans la saleuse. C'est du fait-maison mais c'est terriblement efficace.

La rampe de chargement de la saleuse

 
 Ci-dessous: vidéo du chasse-neige. Cliquez sur l'image pour lancer la lecture.

Nous disposons depuis cette année de chaînes pour le tracteur et pour la saleuse, sans lesquelles il est parfois impossible de traiter les routes. Le camion n'étant pas encore équipé de chaînes et ne pouvant pas manoeuvrer partout, le tracteur est systématiquement mis à contribution dès lors que la quantité de neige nécessite un "rabotage" préalable au salage. Dans certaines rues, seul le tracteur peut manoeuvrer la saleuse.
L'inconvénient est que la tracteur est un véhicule très lent et que sa petite taille nécessite plusieurs passages pour chaque rue, ce qui prend plus de temps qu'un simple salage.
 
 Vidéo: chasse-neige sous la neige. Cliquez sur l'image pour lancer la lecture.
 

Un problème souvent rencontré est le manque de circulation à certaines heures, qui fait que le sel n'agit pas (il faut qu'il soit "roulé" pour entrer en contact avec la neige ou le verglas et la route). Une route peut donc être salée et toujours couverte de neige ou de verglas. L'aspect est donc trompeur !

Autre problème récurrent, l'insistance de certains à vouloir passer alors que la route n'est pas praticable ou pendant que nous travaillons au limieu de la chaussée. Selon le code de la route, il est interdit de dépasser un engin de salage. La raison en est simple: si un véhicule se "plante" devant la saleuse, celle-ci ne peut plus faire son travail. Et si les routes ne sont pas traitées parce qu'une saleuse est immobilisée, des accidents peuvent se produire plus loin...

Et il s'en produit. D'aucuns viennent se plaindre que les rues ne sont pas déneigées, qu'ils ne peuvent sortir de chez eux ou que ça glisse (entre autres). Que les choses soient bien claires, nous ne sommes rien face à la Nature et il faut savoir à quoi on a affaire.
Le bon sens voudrait que les déplacements soient limités au strict nécessaire quand les conditions sont difficiles. Au moins, on s'attendrait à ce que ceux qui sortent avec 10 centimètres de neige sur la route disposent d'équipement spéciaux. Il n'en est rien. En une semaine de déneigement, nous n'avons croisé que 3 véhicules équipés de chaînes et un de "chaussettes". Les pneus "neige" sont une aide sur la neige fraîche mais pas sur la neige tassée ni sur la glace. Alors que dire des pneus simples ? 
Cela n'empêche pas certains de vouloir reporter sur nous leur décision stupide de s'engager sur une route dangereuse sans équipement adapté. Notre responsabilité se limite au traitement des routes dans la mesure de nos capacités, en aucun cas nous ne pouvons être responsables de la prise de risque des conducteurs dûe à une mauvaise appréciation le leur capacité à conduire sur routes enneigées.

De nuit, l'ambiance était surréaliste, on se croyait dans un téléfilm post-apocalyptique
 La photo ci-dessus montre jusqu'où ça va: 6 véhicules en perdition abandonnés sur la route. Combien de conducteurs  se trouvaient dans une urgence vitale pour aller se mettre en pareille difficulté ?
Il y a pire, on a vu un riverain forcer le passage et bloquer la route, nous empêchant de saler la route, pour s'économiser 50 mètres de marche à pied ! Et le lendemain, un autre appelle à la mairie pour se plaindre qu'il ne peut pas remonter sa rue alors que celle-ci est dégagée mais qu'il n'est juste pas encore sorti de chez lui... Un autre a failli heurter la saleuse en s'engageant derrière pendant une marche arrière difficile, avec un enfant à bord !
Lamentable, n'est-ce pas ?

Bon, il est facile de dénoncer les comportement aberrants. Voici donc quelques rappels pour quand la météo annonce un épisode neigeux ou de nature à rendre la circulation dangereuse:
  • - Ayez toujours un minimum de provisions de première nécessité à la maison pour tenir le temps de revenir à une situation normale.
  • - Prévoyez de différer vos déplacements et limitez-vous au strict nécessaire.
  • - Procurez-vous et apprenez à utiliser les équipements spéciaux pour votre véhicule.
  • - Munissez-vous d'une petite réserve de sel de déneigement ou de cendre de la cheminée ( la cendre ne fait pas fondre la neige ou la glace mais empêche de glisser).
  • - Si vous devez conduire, roulez très lentement, anticipez de beaucoup le profil de la route, augmentez fortement la distance de sécurité et évitez les coups de volant ou de frein.
 Rappel également sur l'obligation faite à chacun d'entretenir le trottoir devant toute la longueur de sa propriété. C'est la loi, c'est prévu pour protéger les piétons contre les chutes et ne concerne en fait pas que la neige mais également des détritus. Cet entretien, ne concerne donc pas seulement les accès, mais bien tout le trottoir. Cette année, il y a plus d'habitants qui le font, et c'est une bonne chose, mais ils sont toujours beaucoup trop peu. Pour info aux réfractaires: si une personne se blesse devant chez vous parce que vous n'avez pas entretenu le trottoir, elle peut vous attaquer en justice ! Petite précision, déneiger le trottoir ne veut pas dire pousser la neige sur la route. En faire des tas là où c'est possible, au pire la pousser sur le bord du trottoir vers le caniveau. Mais surtout pas l'étaler sur la voie, car là encore, en cas d'accident, la responsabilité du riverain serait directement engagée, que la route soit salée ou non.

Terminons sur une note d'espoir par un remerciement à ceux qui nous ont témoigné leur sympathie et même parfois apporté leur aide.

23 septembre 2012

Gain de place au centre de loisirs

Notre collègue Alain, recruté il y a quelques temps pour assurer la conduite du chalibus, la sécurité en sortie d'école et autres courses, est menuisier de métier, spécialiste en aménagement d'intérieur. C'est tout naturellement que la réalisation de nouveaux placards de rangement lui a été confiée.

Le but était de remplacer plusieurs armoires métalliques surchargées et disséminées dans les locaux pour centraliser les fournitures de loisirs créatifs et libérer de l'espace.
En concertation avec les animatrices du centre de loisirs, Alain a conçu un meuble sur mesure puis en a assuré l'approvisionnement et la fabrication.

Bien que la conception soit simple, la réalisation ne souffre pas l'erreur, il valait mieux que ce soit un pro qui le fasse et Alain était parfaitement à l'aise dans l'exercice.

 Il a fait du costaud ! Le relevage des éléments et leur mise en place nous ont prouvé, avant même leur mise en service, que les meubles résisteront à la charge prévue.

Ce qui au départ était un placard pour le premier étage s'est finalement transformé en deux meubles, le second, pratiquement identique, étant destiné à la garderie du rez de chaussée.

Les armoires métalliques ont été montées au grenier du château où elles permettront le rangement dans de meilleures conditions de fournitures diverses ne pouvant être stockées dans les locaux de vie.

Voici le résultat:
1er étage: grande salle du centre de loisirs

Rez de chaussée: garderie périscolaire

21 mars 2012

Les déménageurs de l'extrême à Chalifert

Le titre de cette émission de télé convient parfaitement aux opérations exceptionnelles menées récemment. A vrai dire, elles ne sont pas de notre fait, justement parce qu'elles dépassent nos capacités.

La première opération consistait à monter deux armoires métalliques à l'étage de la mairie. Notre problème était que le poids et les dimensions de ces armoires rendaient dangereux le passage par l'escalier plutôt raide et étroit. Les livreurs, habitués à ce genre d'exercice, ne s'y sont pas risqués !
Nous avons donc fait appel à un des engins téléscopiques de la Ferme pour passer les armoires par une fenêtre.

Envoyez la marchandise !
 
Réception des colis
  La deuxième opération s'inscrit dans la restructuration du service technique. Il s'agissait de sortir de la cour deux caissons préfabriqués. L'un abritait du matériel non utilisé par l'épicerie, l'autre était notre atelier. L'arrivée de nouveaux matériels depuis l'installation de ces préfabriqués rendait presque impossible de manoeuvrer dans la cour et le moins qu'on puisse dire est que ce n'était pas vraiment présentable, d'autant plus que la salle du conseil, où se déroulent les cérémonies de mariage, donne directement sur cette cour !
 Les préfabriqués sont logés chacun derrière une construction, il faut donc les lever puis les tourner avant de les sortir, c'est une mission pour le chargeur téléscopique.
 Pour faire passer l'engin et les caissons, il est nécessaire de démonter le portail et ses supports.
Il n'y a vraiment pas trop de marge de manoeuvre, dans les trois centimètres de chaque côté à hauteur du chapeau des piliers.
Nos remerciements à M. Van Honacker et à ses gars pour leur maîtrise de l'engin et leur aide pour ces opérations spéciales qui se sont parfaitement déroulées.
Un gros travail d'aménagement de la cour nous attend encore, ce sera l'occasion d'un nouveau message.

11 mars 2012

Restructuration du service technique 2

Les travaux d'assemblage de la mezzanine se révèleront assez difficile à cause de l'encombrement du local que l'on continue d'utiliser. Autre difficulté, la pente du sol qui nécessitera un important calage et enfin la présence d'une bordure en béton à la base des murs, nous obligeant à modifier la configuration des piétements métalliques. Il s'agit d'éléments standards de rayonnage industriel. Le coup de chance formidable est qu'ils sont rentrés juste, juste: à moins de trois centimètres de marge de manoeuvre, on n'a pas eu à recouper ni rallonger !
 Les éléments sont grands, lourds, et ne tolèrent pas les écarts: ils ressortent des logements si on force pour les rentrer. Le réglage est donc délicat. Il ne sera pas possible d'obtenir un niveau parfait mais compte tenu des conditions, le résultat est jugé très satisfaisant.
 Le futur étage commence à se matérialiser avec la pose des premières poutrelles tubulaires...
... bientôt rejointes par un escalier de la même provenance que la structure. Autre coup de chance inespéré, il était à la dimension exacte ! Seules des adaptations mineures pour la fixation ont été nécessaires. La pose de l'escalier a permis de placer le reste des poutrelles puis d'entamer la pose du plancher.
 Constitué d'un parquet en pin déclassé, le plancher est posé à partir du mur opposé à l'escalier pour une meilleure référence de départ (murs très irréguliers et bâtiment pas d'équerre du tout). Le travail est un brin malaisé. En partie à cause du vide, mais aussi à cause de la très faible hauteur sous la toiture qui oblige à circuler à quatre pattes.
 Heureusement, l'autre moitié est plus confortable. Au milieu du plancher, une ouverture est aménagée pour créer une trappe pour le passage ultérieur de matériels lourds.
 L'installation électrique d'origine est supprimée et remplacée par un circuit adapté à nos besoins: éclairage fluorescent et prises électriques en nombre.
 C'est encore encombré mais on commence à voir se dessiner les différentes zones de travail et de stockage.
A l'étage, un rayonnage inutilisé par l'épicerie, car incomplet et en surnombre, est modifié et mis en place pour accueillir le stock des petites forurnitures.
A ce stade, il faut apporter les matériels entassés dans le préfabriqué et essayer de trouver une place pour chaque chose, qui soit pratique et logique.
L'aménagement est loin d'être fini mais ça ressemble de plus en plus à un véritable service technique.
A suivre, donc...

15 février 2012

Restructuration du service technique 1

Nous nous étions déjà lancés dans des chantiers relativement importants pour une prtite structure comme la nôtre, chaque étape nous apportant une meilleure maîtrise de certaines techniques et parfois même du nouveau matériel. Mais suite au déménagement de l'atelier, initialement allée saint Jacques et maintenant devenu une habitation, nos locaux se résumaient à un caisson préfabriqué, à un garage à côté de l'église et à la cour de la mairie.

Le garage avant les travaux...
 Le garage sert au début à ranger les tracteurs et leur remorque, les accessoires de la chargeuse bobcat et divers objets et produits.
Le seul endroit où l'on pouvait travailler: par terre !
 S'il fallait travailler sur des objets de grandes dimensions, à l'abri, il fallait s'installer le matin et tout remballer le soir  pour rentrer les tracteurs. Il fallait travailler par terre en l'absence d'établi.
Le préfabriqué-atelier
L'outillage et les fournitures diverses sont stockées dans un préfabriqué, d'abord en vrac, puis la nécessité du service nous a amené à organiser un semblant d'atelier. L'éclairage a été installé après plus de deux ans, il n'y a toujours pas de prise électrique, ce qui oblige à dérouler une rallonge dès qu'un appareil électrique est nécessaire...
La place y est bien sûr insuffisante, non seulement pout y travailler, mais également pour y ranger le matériel, dont une bonne partie est stockée en extérieur sous abri ou dans les vestaire et réfectoire.
Toutes les réalisations effectuées jusqu'à présent l'ont été dans ces conditions, cela n'a pas toujours été facile.

Lorsque Monsieur le Maire nous a proposé d'exploiter le potentiel de la hauteur du garage pour y aménager un véritable atelier et d'améliorer ainsi nos conditions de travail, nous avons étudié la question et suggéré ceci:



Une enveloppe de prix a été déterminée pour la réalisation d'une structure métallique, un plancher et une nouvelle couverture. Le feu vert fût donné jusqu'à ce qu'un problème budgétaire retarde le lancement.
L'opportunité de récupérer des éléments de rayonnages métalliques de stockage chez un particulier donateur a relancé le projet moyennant quelques modifications.

Dans les grandes lignes, il s'agit de créer un étage grâce à une plateforme en mezzanine. Cet étage servira essentiellement au stockage de matériels saisonniers et aux petites fournitures. Le rez-de-chaussée sera aménagé en atelier où les équipements pourront être installés à poste et utilisés dans de meilleures conditions.

Les travaux ont commencé pendant l'été 2011, l'avancement se faisant en complément des actions habituelles est relativement lent mais la progression est encourageante. D'autres messages feront état des progrès de ce gros projet (pour nous).

A suivre